1. Thérèse, celle qui rigole quand on la... chatouille


    Datte: 30/04/2021, Catégories: fh, grp, inconnu, cinéma, collection, vidéox, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe Humour totalsexe, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... quand même fini par une baise timide en guise de réconciliation, et la promesse par mon homme que j’irais bientôt avec lui au bar, qu’il me présenterait à ses potes et même à la gonzesse qui était supposée être en couple avec l’un d’entre eux.
    
    On y est allés, au bar, et j’ai pas été déçue. Ils étaient tous aussi cons que lui et ne parlaient que de cul. La blondasse n’était pas en reste. Elle me narguait. Si bien que le ton est monté tout doucement et que les provocations ont suivi. Elle a fini par rouler une pelle à mon mec qui s’est laissé faire, et du coup je n’ai pas repoussé la main d’un blaireau qui passait sous ma robe. On a fini dans un appartement sordide, tous à poil, pour ce qui restera ma première partouze. C’était à celle qui prendrait le plus de bites. J’ai gagné. Largement.
    
    Il y avait huit mecs et deux nanas. Elle s’est arrêtée à trois ; je suis allée jusqu’à huit, dont une fois quatre en même temps : ça tient du record ! La station assise m’a été pénible pendant une bonne semaine tellement j’avais mal au cul.
    
    Mon mec m’a vue me faire déchirer par sa bande, jouir sous son nez, réclamer du matériel, hurler de plaisir et de douleur. Ça lui a foutu un coup. Mais il l’avait bien cherché et ne m’en a pas voulu. Nous avons fait un pacte : dorénavant, fidélité réciproque, et mariage.
    
    Six mois après, nous étions mariés. Notre bande de copains que nous connaissions du coup intimement était là. La blonde s’était casée avec l’un d’entre eux et m’a servi de ...
    ... demoiselle d’honneur. Son compagnon, un mec monté comme un poney, fut le témoin de mon mari. Mon second mari, donc, si vous avez suivi.
    
    La nuit de noces n’aurait dû être qu’une formalité tellement nous avions consommé avant. Mais elle s’est transformée en apothéose. Nos témoins nous ont conduits dans une petite ferme-auberge où nous devions nous cacher pour la nuit, et eux devaient évidemment repartir et retourner à la fête. Mais cette nuit-là, j’avais très envie d’un poney. En échange, j’ai demandé à mon mari de baiser Jacqueline qui en avait tellement envie elle aussi, et je me suis fait ramoner pendant qu’ils baisaient à proximité. Ce ne fut pas une partouze puisqu’à aucun moment nous n’avons changé de partenaire. C’était la première fois que je faisais l’amour comme ça. Bruno, mon mari, m’avait habituée à des saillies viriles et toniques. J’adorais ça. Maxime, le poney, était plus gros question queue, mais plus doux aussi. Il a pris son temps pour me caresser, me lécher, faire monter la pression. En gros, il m’a obligée à une attente insupportable tellement j’avais envie. Si bien que quand enfin il a présenté son énorme gourdin entre mes cuisses, j’ai senti une libération inédite, quelque chose d’immense, et j’ai joui instantanément. Après, il m’a baisée tendrement, longtemps, doucement. Des fois il accélérait, puis ralentissait. Il sortait sa queue en entier et revenait brutalement, ou se contentait de petits mouvements, puis alternait. Il m’a rendue dingue, vraiment. À ...
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