1. Thérèse, celle qui rigole quand on la... chatouille


    Datte: 30/04/2021, Catégories: fh, grp, inconnu, cinéma, collection, vidéox, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe Humour totalsexe, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... mais ça fout quand même un coup au moral. Pour être franche, je ne sais pas si je l’aimais vraiment. Les seules questions qui me sont venues portaient sur des considérations très matérielles, et sur le délai durant lequel une veuve devait se montrer sage avant de tourner la page.
    
    J’ai attendu presque une année, regardant les hommes tristes de me voir habillée ainsi en noir alors que j’étais triste, surtout, de devoir patienter.
    
    À l’époque encore, vivre seul, pour une femme, n’était pas signe de civilité conforme. Je n’envisageais pas de sortir seule le soir ou de me montrer trop avenante avec les gens qui m’abordaient. Il fallait faire bonne figure, assumer mon statut de veuve, et traîner ma croix. Je peux le dire maintenant, puisque les faits sont largement prescrits : il m’arrivait d’aller me promener, la nuit tombée, habillée comme un homme. Je n’avais pas les traits si fins que ça, et avec des fringues un peu amples et une casquette, je donnais assez bien le change.
    
    Il y avait dans un quartier voisin un cinéma pour adultes ; on y diffusait des films pornographiques. C’était assez drôle de voir les hommes passer devant l’entrée en faisait mine de ne pas regarder, puis qui ralentissaient, changeaient de trottoir, faisaient demi-tour, repassaient devant, et attendaient que la rue soit déserte pour y entrer rapidement. J’avais tellement entendu mon éphémère mari me raconter ses parties de jambes en l’air pendant son service que c’était devenu une obsession. Je ...
    ... voulais au moins regarder, observer, m’imaginer à la place de ces actrices qui avaient le bonheur de se faire baiser. Alors j’ai franchi le pas. J’ai fait comme ces hommes discrets : j’ai tournoyé, tortillé, puis je suis entrée. J’ai mis le montant de la place sur le comptoir du guichet sans parler, j’ai pris mon ticket, et je suis entrée dans la salle.
    
    Heureusement, il y faisait presque noir, en tout cas durant les premières minutes. La salle était clairsemée d’ombres. Il y avait visiblement peu de monde, mais déjà, en voyant l’immense écran, j’ai senti une bouffée de bonheur. Le film était commencé. On voyait une femme à genoux, nue, et un type poilu comme un singe à genoux lui aussi, qui s’approchait d’elle avec un énorme sexe tout raide au droit de ses fesses. J’allais pour la première fois de ma vie assister à une saillie. Et la fille, en plus, tenait un autre sexe dans sa main ; c’était celui d’un gars tout maigre mais équipé d’un fusil de gros calibre. Au moment même où la bite poilue a disparu entre les fesses de la salope, celle du maigrichon s’est retrouvée dans sa bouche. J’en ai presque oublié que je devais m’asseoir. Il me fallait me mettre à un endroit où je serais seule. J’ai remonté le troisième rang avant le haut pour me faufiler entre les sièges et aller me coller contre le mur du fond. Au moins, il n’y aurait pas de passage à ma droite.
    
    Je suis entrée dans le film. Vraiment. Je sentais les queues me défoncer la bouche et le sexe. Je sentais les mouvements ...
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