Sophie à l'EHPAD (3)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... puisse voir les jets de liquide atterrir sur ma langue. Je la lui tirai une fois que Phébus eut rendu la dernière goutte. J’attendis que Charles me fasse signe d’avaler et lui montrai ma bouche vide.
Elle ne le resta pas longtemps, car ce fut au tour de Perceval dont je commençais à sucer. Mais Charles l’avait gardé pour me baiser et m’enculer. Il continua à se masturber en nous regardant. Le cabot excité par les gloussements de Phébus était très énervé et ne résista pas longtemps dans mon anus et se déversa abondamment. Charles n’eut pas le temps de l’écarter qu’il léchait déjà son propre sperme sur mon abricot fendu. Pour faire bon poids, ce fut au tour de Charles de se servir de ma bouche. Mais je n’arrivai pas à l’amener à jouir et je dus le masturber très violemment et rapidement pour tirer quelques gouttes de son sirop de corps d’homme.
J’eus ce soir-là le droit de dîner à table avec Maîtresse Syl, de finir ma journée dans son lit, les lèvres un peu irritées à force de sucer tout le monde. Je m’endormais la tête entre ses jambes.
Le lendemain, je pus rester tranquille : Maîtresse Syl était à l’extérieur pour la journée, j’étais aux mains de Charles et, si je puis dire, des lévriers.
La piscine
Maîtresse m’avait habillée d’un mini-short en éponge crème et d’un petit haut rose très léger qui arrivait sous ma poitrine, et mis des tongs à mes pieds. Je ne savais pas où nous allions, mais elle était vêtue assez sportwear, également, avec beaucoup de ...
... classe.
Elle stoppa devant un grand bâtiment en dehors de l’agglomération : piscine, golf, salle de musculation, mur d’escalade, et cætera. Les activités étaient nombreuses.
Elle nous dirigea vers la piscine où nous retrouvâmes devant l’entrée, la jeune vendeuse de chaussures. Elle était plus âgée que moi, au moins 25 ou 26 ans, brune un peu potelée, habillée en jean et grand pull bleu, avec un sac de sport à la main. Pas vraiment la classe.
D’entrée, elle me fit la bise et passa sa main droite directement entre mes cuisses. J’étais surprise et reculai d’un pas. Mal m’en prit : Maîtresse me colla à elle par une bourrade dans le dos.
Elle repassa illico sa main non plus sur mon short, mais dedans, en écartant l’élastique de la taille.
Cela ne me paraissait pas très discret, mais que pouvais-je dire ? Elle fit également la bise à Maîtresse Syl, sans pour autant lâcher ma chatte qu’elle avait investie de deux doigts. Elles avaient dû se parler en dehors de ma présence.
Maîtresse paya les entrées, et après quelques couloirs, nous nous retrouvâmes devant une grande cabine où j’avais l’intention d’entrer pour me changer en espérant que Maîtresse avait pris un maillot pour moi. Je ne me voyais pas me baigner toute nue dans la piscine municipale !
Un grand panneau « douche obligatoire » trônait au-dessus de la porte pour entrer dans la piscine proprement dite. J’avais pour instruction d’attendre devant la cabine. Je regardais les femmes se doucher pour accéder aux ...