1. Sophie à l'EHPAD (3)


    Datte: 25/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    Maîtresse Syl
    
    Je l’espérais sans trop y croire, car bon nombre de rencontres avec Maître Lô n’avaient pas donné de suite. Je restais sur ma faim depuis presque un mois et mes espoirs semblaient sans lendemain.
    
    Ce fut vraiment par hasard, alors que je ne m’y attendais pas, que j’eus des nouvelles de Maîtresse (j’ignorais toujours son prénom). C’est le nain qui, en dehors de la présence de mon maître et pour que je m’occupe sexuellement de lui, m’avait donnée l’information. Une soirée ou une sortie - il ne savait pas exactement - était prévue avec la magnifique brune.
    
    En fait, il ne s’agissait pas de cela, mais je l’apprendrais plus tard : Maître Lô me louait pour deux semaines à Mme Sylvania Pétronitra, Présidente de région, moyennant l’autorisation d’utiliser un terrain appartenant à la collectivité pour un évènement de son parti politique.
    
    Sans me prévenir de quoi que ce soit, nous partîmes un matin, Maître Lô au volant, et moi nue dans le coffre, les mains et les pieds liés. Je n’avais en guise de bagage que mon collier et ma laisse.
    
    Nous roulâmes fort longtemps avec un seul arrêt pour qu’il fasse le plein du réservoir. Puis nous nous arrêtâmes dans un bois, sur une allée discrète. Il me sortit du coffre, me fit faire mes besoins, et je pus me dégourdir les jambes, manger et boire. J’en déduisis qu’il devait être aux alentours de midi. Comme nous étions partis vers neuf heures, nous devions être à 300 kilomètres de la maison. L’après-midi passa rapidement, ...
    ... car deux heures après, Maître stoppa sa voiture, descendit et en verrouilla toutes les ouvertures avec son bip.
    
    Je me trouvais enfermée, sans savoir où je me trouvais. J’étais à l’écoute des bruits extérieurs, mais aucun son ne parvenait à mes oreilles. Il se passa un moment, sans que je puisse me repérer.
    
    D’un coup, le coffre s’ouvre, m’aveuglant, et je suis forcée de fermer les yeux et de ne les rouvrir que progressivement pour les habituer à tant de clarté. Maîtresse est là ! Une grande joie m’envahit et me submerge ; j’en ai les larmes aux yeux.
    
    — Vous avez bien fait de transporter la marchandise de la sorte, c’est le moyen le plus tranquille. Elle ne se soulage pas dans le coffre au moins ?
    
    Le ton était donné, j’adorais sa façon de parler de moi, de bouger, de me prendre à bras le corps pour me faire descendre de la voiture. Elle me déposa sur le sol, couchée sur le flanc droit. J’aimais tout de cette femme, son odeur, sa façon de parler, son léger accent. J’étais amoureuse. Elle était un peu une géante pour moi, nos gabarits étaient à l’opposé l’un de l’autre.
    
    — Tu te souviens de Mme Pétrone, Sophie ? Elle va s’occuper de toi durant ton séjour. Tu dois lui obéir comme à moi et si tu n’es pas sage, elle te punira. Elle a toute autorité te concernant.
    
    Les choses étaient claires et j’étais aux anges, un peu triste de quitter Maître Lô, mais je savais que j’allais rencontrer les protégés de Maîtresse et mon bas-ventre s’en réjouissait déjà. Elle m’inspecta ...
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