1. Sophie à l'EHPAD (3)


    Datte: 25/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... sans même me détacher, à même le sol, écarta mes fesses et ma fente par-derrière, tira sur mes tétines avec une joie non dissimulée, ouvrit ma bouche pour inspecter mes dents.
    
    J’avais vu les maquignons en blouse noire faire de même avec les vaches qu’ils achetaient sur les foires aux bestiaux.
    
    Je m’imaginais nue, attachée avec des animaux et des hommes me palpant de tous côtés pour tester ma viande. La foule autour ferait grand bruit et tout le monde pourrait voir mon abandon total et que je mettais à disposition mon corps à qui voudrait l’éprouver, sans aucune retenue.
    
    Je ne le vis pas, mais devinai le départ de Maître Lô au bruit du moteur de sa voiture. Il avait la route à faire pour rentrer chez nous et sûrement des rendez-vous importants l’attendaient.
    
    — Tu m’appelles Maîtresse Syl, mais le mieux c’est que tu te taises. Ton maître dit que tu acceptes tout sans broncher. Néanmoins, je t’autorise, si tu en as le besoin de te servir d’un code pour tout arrêter. Dans ce cas-là, tu retournes chez ton Maître et tu ne me verras plus jamais. Bien sûr, il te punira et me remboursera de ta location. Le code d’urgence absolu est : Liberté. Sinon, c’est un aboiement pour oui, et deux, pour non.
    
    Les choses étaient claires ! Maître Lö ne m’a jamais donné de code, je n’imagine même pas que cela puisse me servir un jour. Devais-je avoir peur ? Redouter des jeux ou situations qui pourraient me mettre en danger ?
    
    Elle me redressa et me détacha puis me guida avec la ...
    ... laisse vers la splendide maison de pierres taillées, magnifique propriété avec un parc immense. Nous nous promenâmes un moment dans ce jardin fleuri qui contenait un plan d’eau avec des poissons et un jet en son centre.
    
    Je m’imaginais nue dans le bassin avec du monde autour, genre la dolce vita de Fellini.
    
    — Envie de pipi ?
    
    Je répondis d’un aboiement rapide. L’eau me faisait toujours cet effet-là ! Je gesticulai et elle s’aperçut de mon envie. Je m’accroupis et me soulageai sur la pelouse.
    
    Elle releva mon visage pour me regarder droit dans les yeux quand je pissais. Je dus garder la pose et elle vérifia sous moi pour constater la petite flaque sous mes fesses. Avec une feuille, elle m’essuya les lèvres et l’entrée du vagin en écartant mon sexe avec deux doigts. La feuille finit dans ma bouche et je dus la mâcher sans recracher.
    
    Nous remontions l’allée qui menait au plan d’eau quand la porte d’entrée s’ouvrit au loin. Un homme d’un autre âge tenait les chiens de Maîtresse en laisse. Les deux superbes lévriers étaient haut perchés, leurs pattes n’en finissaient pas. Maîtresse me fit mettre à quatre pattes, et tint ma laisse serrée. Une fois près de moi, ils jappèrent et tirèrent sur leurs liens, mais l’homme ne les laissa pas m’approcher.
    
    Maîtresse ne me le présenta pas; par contre, elle me présentait à lui.
    
    — Charles, voici Sophie, elle passera deux semaines avec nous, sa principale qualité sera de satisfaire Phébus et Perceval. Vous pourrez également ...
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