Sophie à l'EHPAD (3) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (3)

... salle de bains du premier ; je reprenais mes esprits et pour m’y aider, j’eus droit à un grand verre de jus d’orange.

Les chiens étaient adorables, doux, sensibles, cherchant toujours le contact, même s’il n’était pas sexuel, bien que cela finisse toujours par deux bites dans ma chatte ou dans mon cul. Ce jour-là, je sentais Charles, très énervé par notre matinée qu’il avait surveillée à distance, m’installa au sol devant lui, avec Phébus et Perceval.

Il tenait, comme souvent, la chaîne qui était fixée à mon collier. Cela lui donnait une position dominante sur moi, j’adorais lui obéir. Bien qu’il ne parlât pas, je pratiquais quand même le code de l’aboiement mis en place par Maîtresse. Mon esclavage le comblait. Qui n’a pas ressenti, en voyant un film, de vouloir plus de malheur pour la victime en se disant qu’elle avait mérité encore plus de châtiments ?

Je me posais la question entre la perversion et la fantaisie. Charles était-il pervers ou voulait-il simplement satisfaire les animaux dont il avait la responsabilité et qu’il chérissait le plus au monde ? Le vrai zoophile n’était-il pas Charles qui se réjouissait de voir Phébus et Perceval me besogner ou moi qui leur servait de femelle pour leurs pulsions naturelles ?

Oui, je sais, j’ai toujours des moments de réflexion inopportuns !

Il avait fait entrer son pied dans ma chatte, et les chiens me bouffaient la chair en même temps qu’ils le lui léchaient. Il me masturbait avec les mouvements de sa cheville, ...

... j’avais beau écarter moi-même mes lèvres, il ne rentrait pas plus loin que ses doigts de pieds. Je redoutais que ses ongles me blessent les parois du vagin, mais ils étaient étonnamment propres et entretenus. Il était peut-être un peu fétichiste des pieds ! Il y a, paraît-il, des gens qui ne jouissent qu’en ayant des pratiques sexuelles les impliquant.

C’est alors que le petit tube tomba de ma chatte à cause du mouvement de masturbation du pied de Charles. Je me demandais qui de nous deux devrait être puni. Charles ou moi ? Cela ne semblait pas inquiéter le muet plus que de raison et il continua à s’occuper de moi.

Je caressais le fourreau qui protégeait la bite de Phébus : j’avais remarqué qu’il bandait plus fort quand je lui faisais une masturbation de cette manière-là. La bite rouge et pointue sortit petit à petit de la ganse de poils courts, humide et chaude à souhait, la base ronde émergeait en fin de course...

Je regardais ce spectacle, mais Charles poussait déjà ma tête pour que je suce son chien préféré.

Je promenai ma langue sur la pointe, descendis le long de la hampe et suçotai la base ronde et palpitante. Pour finir, je la pris en bouche et l’avalai littéralement, je déglutis pour qu’elle passe ma glotte et je finis le nez contre ses couilles. J’aspirais tellement fort que le bestiau suffoquait. Charles avait sorti son sexe et se masturbait en me regardant.

Le chien ne tarda pas à lâcher son sperme et je sortis sa bite de ma bouche pour que Charles ...