Sophie à l'EHPAD (3)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... bassins.
Maîtresse ressortit dans une pièce noir brillant, magnifique, qui soulignait avec avantage ses lignes parfaites. Josiane, oui, je sais, c’est un prénom grave daté, mais c’était le sien ! portait un deux pièces à fleurs qui lui faisait des fesses un peu trop ronde, mais un haut pigeonnant qui faisait saillir ses seins généreux et rebondis.
Maîtresse entreprit de me mettre nue devant la cabine, très vite aidée par Josiane.
Les allées et venues des autres clientes ne semblaient pas les gêner. Je me retrouvais à poil au milieu de l’agitation d’un après-midi de semaine.
— Tu as vu Sophie ? Douche obligatoire. Allez, ouste ! Au savonnage !
Maîtresse délégua à Josiane la tâche de me laver.
Il y avait quelque chose d’étrange, de décalé, entre le fait que tous circulaient en maillot de bain et que moi j’étais entièrement nue, ma fente glabre bien visible, au centre d’elles.
Sous la douche, Josiane me frottait avec la main couverte de gel douche. Ce manège n’échappait pas à certaines femmes qui s’étaient arrêtées pour nous observer.
Josiane s’appliquait dans son travail et ne négligeait aucune partie de mon corps, extérieur comme intérieur. Mon anatomie était à la disposition de qui voulait la découvrir, ce qui à mon sens expliquait le nombre de femmes, de filles, qui me mataient maintenant. Josiane n’osait pas aller jusqu’à une masturbation dans les règles, mais tout juste.
L’exhibition dura un bon quart d’heure et je devais fermer les yeux pour ...
... ne pas hurler mon plaisir. Je sentais très nettement à sa manière de faire que Josiane était lesbienne.
Ma mouille ne se voyait pas avec l’eau qui ruisselait le long de mon corps. Maîtresse, un peu à l’écart, faisait des photos durant tout ce temps.
Des femmes étaient restées pour voir la tournure que prendrait la suite des évènements. Maîtresse me fit enfiler un maillot fait en crochet blanc, on ne peut plus étroit. Il dessinait mes formes comme si j’étais nue.
Ma raie était plus que marquée et le tissu s’insinuait dans ma fente. Mes tétons pointaient fièrement par les trous du crochet.
Les vestiaires et les douches n’étaient pas mixtes, mais dans le bassin, les hommes présents et nombre d’entre eux étaient des prédateurs en puissance.
Maîtresse passa derrière nous ; Josiane me tenait par la main et je faisais exprès de traîner les pieds. Elle essayait de faire preuve d’autorité envers moi. Sûrement que le jour où nous l’avions rencontrée, elle s’était déjà imaginé qu’elle pourrait assouvir ses prétentions de maîtresse en herbe.
Maîtresse Syl qui est une femme très intelligente lisait en moi comme dans un livre ouvert. Elle nous stoppa et me fit la morale :
— Tu obéis à Josiane comme à moi, sinon je te fais passer la nuit avec les chiens et te fais baiser à sec par les chevaux.
Je dois dire que la perspective m’excitait plus qu’elle ne me paraissait être une punition, mais j’acceptais par un « wouaf » de circonstance de me soumettre temporairement à ...