1. Sophie à l'EHPAD (3)


    Datte: 25/04/2021, Catégories: Trash, Auteur: TURBO77, Source: Xstory

    ... devait être mordu. Ma langue ne pouvait pas être embrassée, mais devait être tirée hors de ma bouche. Une bite ne pouvait pas être simplement sucée, mais devait heurter le fond de ma gorge. Mes cheveux ne pouvaient pas être caressés, mais tirés et servir de poignée pour mieux me maîtriser. Tout comme mes fesses claquées, mes joues servaient de défouloir et les garçons me regardaient bien dans les yeux avant de me frapper.
    
    Ils me traitaient de tous les noms ; je croyais assister à un film sur les cités. Ils étaient la caricature d’eux-mêmes, mais ne s’en apercevaient pas.
    
    Je vis Charles impatient d’intervenir, mais Maîtresse le retint, jugeant probablement que je n’avais pas eu la dose de la brutalité à laquelle j’avais droit.
    
    En fait, tout en s’amusant avec son smartphone, elle attendait le moment opportun, c’est-à-dire que les garçons « lâchent la purée » comme ils disaient, pour que nous partions.
    
    Ils étaient moins performants que je ne le pensais, par rapport aux pratiques auxquelles j’étais maintenant accoutumée. Ils versèrent leur sperme relativement rapidement. Ils étaient par contre très abondants et je me retrouvais la bouche pleine, les cheveux mouillés et la figure couverte de liquide gluant, mon cul et ma chatte trempés également. Je restais à genoux sur le sol, très vite prise en charge par Charles et Maîtresse Syl, qui m’aidèrent, malgré un dégoût certain, à me mettre debout.
    
    C’est tout juste si nous ne courions pas à la voiture que Charles avait ...
    ... avancée. Les garçons, pris de coût, restèrent en plan, la culotte baissée, et la bite à l’air.
    
    Dans le véhicule, Maîtresse me fit voyager au sol, je ne savais si c’était parce que j’étais couverte de sperme ou si c’était parce que mes vêtements étaient restés dans le parking. Je voyageai nue jusqu’à la maison.
    
    Mon vagin et mon trou du cul ravagés par tant de sauvagerie me faisaient mal et Maîtresse me promit une crème apaisante. Elle me félicita pour ma soumission, me remercia pour le spectacle formidable et me promit de recommencer en invitant la petite vendeuse du chausseur. Elle avait remarqué mon intérêt pour la fille.
    
    Mais je dus quand même subir la chatte de Maîtresse sur ma figure durant tout le trajet.
    
    J’étais débarbouillée par son jus de femme en chaleur, en plus du sperme qui n’avait pas eu le temps de sécher. Je buvais son nectar, bien meilleur que le coca du Mac Donald. ! J’adorais sucer sa chatte qui m’étouffait à moitié sous son basin puissant. Je la fis jouir, elle se tordit sous ma langue fureteuse, je me croyais victorieuse...
    
    Mais de suite, en arrivant, elle attrapa une cuillère et la donna à Charles, qui savait bien sûr ce qu’il devait en faire. Elle prit des photos de ma soumission, tout le temps que Charles raclait le sperme sur mon corps pour me le faire ingurgiter.
    
    Maîtresse Syl me laissa ensuite aux bons soins de Charles pour qu’il divertisse les lévriers. Puis, elle alla travailler dans son bureau.
    
    Il me donna une douche dans la ...
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