Sophie à l'EHPAD (3)
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... parking.
Je restais sans souffle : elle, si BCBG, proposait à des garçons de banlieue de nous suivre dans le parking avec la promesse implicite de profiter de moi, cela me dépassait !
J’aboyais deux fois, ce qui me valut une paire de claques instantanée. Ce n’était pas la douleur, mais la honte devant les jeunes de mon âge qui me blessa le plus.
Maîtresse marchait vite, sûrement pour que nous soyons suivis sans être accompagnées par des voyous.
Les marches furent vite descendues et elle nous dirigea vers un coin à l’écart, dans le parking. Elle regarda en l’air pour découvrir une improbable caméra. Le Noir nous avait rattrapées le premier et sa main accompagnait chacun de mes pas. Il l’avait en permanence entre mes cuisses et son pouce s’était insinué dans mon anus tout en marchant, bientôt rejoint par deux autres doigts dans ma chatte. Sa main était crochetée à ma double ouverture, je marchais, les jambes écartées, comme un canard.
— Je la tiens par la chatte, la pute Sophie, je la tiens par la chatte !
Les mots résonnaient dans ma tête, mais pas seulement. Le parking vide renvoyait ses paroles comme un écho dans la montagne.
Maîtresse s’arrêta :
— Elle est à vous, mais faites vite et pas de marques.
Ainsi, elle me livrait à ces affreux, d’une hygiène douteuse et d’une moralité sûrement très éloignée de la sienne !
Ils ne perdirent pas leur temps et je fus assaillie de toutes parts. Mes vêtements avaient volé à l’instant et mon corps fut ...
... couvert de six mains avides de tripoter ma chair offerte.
Vite agenouillée sur le sol qui égratignait mes genoux, j’avais trois bites à ma disposition, celle du Noir était digne de l’énormité qu’on leur prêtait : un long tube noir couronné d’un gland rose d’une grosseur incroyable. Moi qui étais nourrie aux bites de lévriers plutôt fines depuis quelques jours, j’étais comblée.
Je quittais une bite en bouche pour en prendre une nouvelle, mes mains masturbaient les deux autres dans le même temps. J’étais comme saoule, je me prêtais à une sodomie dans les règles de l’art, c’est-à-dire sans ménagement. Mon cul était fessé et enculé à la fois. Ma chatte, fistée par une main entière, me faisait mal, mais mon vagin humidifiait le poing ravageur.
Les bruits de baise m’avaient distraite et je n’avais pas vu Charles arriver. Il avait rejoint Maîtresse, qui prenait des photos et déclenchait dans ma chatte des décharges électriques. Cela avait contribué à me faire perdre la notion de ce qui se passait.
Les garçons ne se limitaient pas à des actes sexuels, mais les renforçaient automatiquement par des actions violentes : coups de pieds et gifles. Je me faisais bifler le visage par une bite dure et cinglante, le garçon voulant me la faire rentrer dans l’œil, puis dans l’oreille, j’avais sa mouille partout sur mon visage.
Quand j’avais une bite dans la bouche, il fallait que je la mette sur le côté pour que l’homme puisse me frapper la joue. Un sein ne pouvait pas être sucé, mais ...