Sophie à l'EHPAD (3) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (3)

... le rapporter à la table où Maîtresse s’était assise dans un recoin du restaurant.

Ma tenue était incongrue dans cet endroit et trois jeunes de mon âge ne se gênaient pas pour me parler et me faire des propositions indécentes. Sûrement des voleurs ou des dealers ! Ils voulaient que « je les suce, que je les branle dans les chiottes », je sentais des mains qui me pelotaient avec rapidité et savoir-faire. J’étais émoustillée, mais n’en laissais rien voir et repoussais les avances insistantes avec modestie.

Je me réfugiais près de Maîtresse et les garçons nous laissèrent tranquilles. Maîtresse avait une autorité naturelle, elle n’avait pas besoin de parler pour se faire respecter.

Nous mangeâmes notre hamburger sous les regards vicieux des trois loubards de banlieue installés près de nous.

Elle me questionna pour me faire répondre et je faisais des signes en hochant la tête. Je pris illico une gifle qui me laissa étourdie. Elle recommença à me questionner et je laissais filtrer un aboiement.

— Plus fort, je ne t’entends pas Sophie.

— Wouaf !

La bande avait sûrement compris que j’étais sous influence.

Maîtresse qui avait saisi plus vite que moi le climat qui régnait, m’encouragea à leur montrer que je ne portais pas de culotte en tournant mon corps dans leur direction et en écartant mes cuisses à l’équerre.

La position ne lui suffisait pas, elle se leva pour remonter ma jupe au niveau de ma taille, et ouvrir mon chemisier sur mes seins. J’étais ...

... complètement dépoitraillée, mes tétines pointaient fièrement vers la table où étaient les garçons. Le garçon noir la remerciait avec un :

— Cimer m’dame, elle est bonne vot’ fille ! la pute de Sophie.

Il pensait sûrement me faire un compliment. Maîtresse lui adressa un sourire engageant.

Du coup, je déjeunais la chatte et les seins à l’air, matée par trois paires d’yeux qui n’en croyaient pas leur chance. Je pensais que nous repartirions rapidement pour éviter tout problème, mais je fus ahurie par la proposition de Maîtresse Syl.

Elle voulait que je me masturbe dans le Mac Donald. Il y avait les garçons, mais aussi des clients derrière moi ; et quelqu’un pourrait venir à n’importe quel moment.

J’eus droit à une nouvelle gifle et j’abandonnais mes frites pour glisser deux doigts dans ma chatte et entamais un mouvement de va-et-vient lent.

— N’oublie pas ton clitoris ma chérie !

Elle parlait fort et tout le monde entendait. Je me caressais le clito avec mon autre main en fermant les yeux.

Maîtresse me rappelait à l’ordre et me fit regarder en direction des trois voyous et sortir la langue.

— Allez, Sophie la pute ! Accélère et tripote-toi les nibards puisque ta maman te le dit !

J’avais du mal à obéir et Maîtresse vint à mon secours.

Elle me fit me lever et ajusta ma jupe et mon chemisier pour qu’il continue à dévoiler mon anatomie.

Elle s’adressa aux trois voyous en leur faisant savoir que s’ils en voulaient plus, ils devaient nous suivre au ...