Sophie à l'EHPAD (3) - Histoires de Sexe

Sophie à l'EHPAD (3)

... mouille et tritura mes seins. Il voulait aller plus loin, mais elle préféra couper court et me fit passer mes vêtements pour repartir rapidement du magasin. Je crois qu’elle était snob et ne voulait pas entretenir de rapports avec les gens du peuple qui fréquentait ce type de commerce.

Elle ne risquait pas de l’inviter à la maison pour une soirée chaude !

Nous sommes maintenant, chez le chausseur, c’était une jeune vendeuse qui me complimenta quand, la jambe relevée sur le marchepied, elle me fit essayer une chaussure et avait une vue sur ma chatte écartée par le mouvement. Elle avait d’entrée la confiance de Maîtresse. Elle avait compris rapidement où ma pseudo maman voulait en venir, et se prenait au jeu en maintenant mon pied en l’air tout en regardant Maîtresse Syl.

Cette dernière lui parlait et lui faisait m’écarter un peu plus les jambes. Elle lui expliqua que j’avais dans mon vagin un engin merveilleux et lui en fit une démonstration. Je passais pour ce test plusieurs minutes en pleines vibrations, Maîtresse laissait son doigt appuyé en permanence. Je coulais et tout le monde pouvait voir sur mes cuisses le résultat du test.

Maîtresse riait, et les clients devaient se demander ce qui se passait.

Un couple plus curieux que les autres s’assit face à moi. La vendeuse se tourna pour leur dire qu’elle finissait avec la demoiselle et qu’elle viendrait vers eux rapidement.

Bien sûr, Maîtresse avait jugé le couple, et ne fut pas surprise d’entendre la femme ...

... dire :

— Prenez votre temps Mademoiselle, nous admirons la fille de Madame qui mérite que nous observions sa beauté.

La vendeuse s’écarta légèrement pour leur permettre de profiter pleinement de la vue qu’elle leur offrait. Tout le monde semblait de connivence et je me retrouvais, la jupe retroussée jusqu’à la taille, la jeune femme introduisant ses doigts dans mon vagin. La masturbation qui s’en suivit fut pour moi une des plus mémorables. Heureusement qu’il y avait beaucoup d’espace, car aux bruits que je faisais, dans un magasin traditionnel, nous nous serions déjà fait repérer.

La femme encouragea la vendeuse. Ma chatte était exposée comme une paire de chaussures, chacun qui passait pouvait la contempler le plus simplement du monde. J’étais exhibée et j’aimais cela !

La masturbation bruyante, ma chatte faisant un bruit de clapotis, tout cela prit fin quand une famille entra dans le rayon de chaussures pour femmes où nous nous trouvions.

Cependant, Maîtresse Syl prit soin de laisser ses coordonnées à la jeune fille « pour faire plus ample connaissance ». Elle devait être lesbienne, me sembla-t-il, à la façon dont elle m’avait traitée.

Le couple s’était rincé l’œil, puis nous suivit du regard, avec dans les yeux un profond regret. J’avais eu l’envie folle de sucer la bite de l’homme. Maîtresse fit demi-tour pour donner ses coordonnées à la femme.

Notre périple se termina au Mac Donald. Je devais choisir seule nos menus, prendre le plateau au comptoir, et ...