Promesse de vengeance
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
fh,
humilié(e),
vengeance,
pénétratio,
confession,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... croisai un des voisins du dessus, celui du troisième étage, qui m’entretint un long moment d’un problème de copropriété. Après moult tergiversations, je lui demandai de monter avec moi pour lui montrer un plan de répartition des lots et des millièmes. Je le laissai passer dans le salon avant moi pendant que je cherchais ce fameux document, et ce n’est qu’en revenant vers la pièce principale que je me rendis compte qu’il se passait quelque chose d’anormal, le voisin était tombé à l’arrêt à l’entrée de la pièce, quelques pas plus tard je restai moi-même bouche bée devant ce qui m’attendait.
Maria et Philippe étaient toujours enlacés, mais plutôt comme on ne pourrait le faire que dans les recoins les plus sombres des boîtes branchées : en fait Maria était appuyée sur le dossier du canapé, les jambes autour de celles de son cavalier qui s’agitait entre ses cuisses relevées et largement écartées ; elle s’agrippait à lui en se retenant à son cou et la main sur sa nuque, embrassait mon ami ; elle ne se contentait pas de lui offrir ses lèvres, mais répondait avec fougue aux baisers torrides de Philippe ; leurs langues tournaient l’une sur l’autre et pénétraient tour à tour dans leurs bouches. Voilà pourquoi ils ne parlaient pas, mais gémissaient et poussaient de petits cris tout en s’activant avec fébrilité. La main gauche de mon ami malaxait un sein mis à nu par le chemisier ouvert ; quant à la droite, elle était passée sous l’arrière de la jupe et empoignait le cul dénudé sous ...
... la jupe.
À l’évidence, Maria avait décidé de passer à l’acte avec Philippe. Slip et pantalon sur les chevilles, il l’avait pénétrée et la besognait à petits coups de reins. La situation ne manquait pas de comique et le spectacle serait cocasse dans son ensemble, deux spectateurs aussi abasourdis qu’immobiles d’un côté, et pour la scène principale, deux acteurs dont le brave travailleur, slip et pantalon sur les chevilles, qu’on voyait de dos, surtout ses fesses blanches qui se contractaient en ponctuant les va-et-vient de son membre. Ma petite chérie s’efforçait de s’accrocher à son cou, écartelée à souhait. Les jambes en l’air, les fesses à peine posées sur le rebord du canapé, elle essayait de lui faciliter la tâche, mais manquait de perdre l’équilibre à chaque coup de boutoir. Malgré tout, elle vibrait de plaisir et accompagnait le mouvement de petits coups de reins. À plusieurs reprises, la verge était éjectée de son fourreau, et c’était Madame qui s’empressait de la remettre là où ça lui faisait du bien. C’était très drôle, sans doute irrésistible pour tout autre spectateur, mais j’étais le mari de celle qui se faisait littéralement sauter sous nos yeux : ces mots illustraient avec force les images, ma femme chérie était en train de se faire sauter. Elle était visiblement gênée et frustrée par cette position inconfortable. Lui par contre jubilait :
— Tu ne peux pas savoir comment j’aime fourrer ta chatte !
— Je suis folle de me laisser faire, je suis mariée.
— Et ...