1. Promesse de vengeance


    Datte: 16/04/2021, Catégories: fh, humilié(e), vengeance, pénétratio, confession, Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... elle.
    
    J’adorais contempler ma femme quand elle faisait l’amour. Tout en elle et particulièrement l’expression de son visage trahissait une sensualité exacerbée pendant l’acte, puis la montée en puissance de son désir sexuel. J’adorais le contact de ses jambes et de ses cuisses, et sa peau était d’autant plus douce et lisse qu’elle s’était épilée le matin même. Elle soignait également sa toison pubienne, taillait ses poils très courts, et plus particulièrement autour des lèvres qu’elle dégageait complètement, ce qui avait pour premier effet de mettre en valeur ses parties plus intimes. En fait, rien qu’à voir son minou si soigné, on savait qu’on avait affaire à une femme qui attachait beaucoup d’importance aux choses du sexe et qui savait tirer profit du sien. Quelle que soit la position qu’elle prenait pour faire l’amour, Maria avait le don de savoir écarter les cuisses pour mieux s’offrir, et en me chevauchant, profitait des mouvements de son bassin pour frotter son clitoris contre moi et s’exciter encore davantage. Ma chérie aimait aussi se faire caresser les seins, particulièrement dans cette position où ils pendaient vers moi, elle donnait ses mamelons dressés à sucer et à mordiller, léchait mon visage, m’embrassait avec fougue.
    
    Elle remarqua :
    
    — Tes lèvres ont le goût de mon sexe.
    — C’est un très bon goût.
    — Et le sexe de Suzy n’était pas à ton goût, peut-être ?
    — Je ne me rappelle pas trop bien, je ne l’ai pas léché beaucoup, tu sais.
    — Tu parles, tu ...
    ... étais trop occupé à la baiser par tous les orifices.
    — Tu exagères !
    — Quand je pense que tu as fourré ta bite dans les trous puants de cette salope, ça me dégoûte de penser que tu ressortes ta queue poisseuse de sa chatte pour la mettre dans la mienne.
    — Je me suis lavé depuis.
    — Je t’en prie, en plus, ne fais pas le malin.
    
    D’ordinaire, c’était plutôt moi qui aimais parler pendant l’amour, surtout de situations particulièrement scabreuses ou de mes fantasmes où ma femme prenait toujours le premier rôle. Mais depuis que je lui avais avoué mon aventure, à chaque fois que nous faisions l’amour, elle me pressait de questions, voulait tout savoir, tout juger, comment Suzy écartait les cuisses, comment elle suçait, comment elle jouissait, ce qu’elle aimait, ce qu’elle disait au lit. Elle exigeait des détails, des précisions, faisait des commentaires d’experte.
    
    À chaque fois, elle ne pouvait s’empêcher de se comparer à ma maîtresse d’une nuit. À tout prix, il me fallait évaluer et noter leurs talents respectifs, leurs caractéristiques physiques. Une nouvelle fois, je lui répétai qu’elles étaient toutes deux désirables, mais qu’elle était et de loin la plus merveilleuse des amoureuses, que son con à elle était de loin le meilleur, le plus accueillant, serré et souple à la fois, doué d’une volonté propre. Et c’était vrai, sans aucun doute possible, le con de Maria était une voie royale et elle aimait se l’entendre dire. Par contre, elle ne supportait pas l’idée que Suzy ...
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