Promesse de vengeance - Histoires de Sexe

Promesse de vengeance

... arrière sur le dossier du canapé. En la regardant s’asseoir, je m’aperçus que la minijupe était remontée plus haut que la normale. Maria soupirait, engourdie par l’alcool. Elle s’abandonnait, ma petite femme, relâchait ses muscles, et petit à petit laissait s’ouvrir le compas de ses jambes. Quand les genoux ronds et dorés s’écartèrent, mon regard remonta le long des belles cuisses pour s’arrêter sur la petite culotte de dentelle blanche largement exposée. Le tissu transparent montrait plus qu’il ne cachait, je distinguais sans peine l’ombre sombre de sa toison de brune, le sous-vêtement soulignait les détails les plus intimes, entrait dans la fente et séparait les lèvres, il me semblait apercevoir aussi une tache d’humidité qui enflammait mon imagination de pensées torrides. Ma chérie mouillait sa petite culotte, à quoi rêvait donc cette coquine ? Je la trouvais particulièrement belle et attirante et je n’étais pas le seul. Philippe, aux premières loges, reluquait sans vergogne l’entrecuisse de ma femme. Je sentais que la vue à peine voilée du minou conjugal attisait encore plus sa convoitise et son envie d’y fourrer sa queue, oui, il ne faisait aucun doute qu’il la voulait et qu’il essaierait de la baiser à la première occasion.

Après un long moment, celle-ci soupira très fort en bâillant et dit en se redressant :

— Pourquoi me regardez-vous comme ça ? J’ai quelque chose de bizarre ?
— Non, non, rien de particulier.
— Je suis saoule, vous savez !
— Moi aussi j’ai ...

... trop mangé et trop bu.
— Il faut que je bouge, sinon je vais m’endormir. Je vais mettre de la musique pour danser, vous voulez ?

Sans attendre de réponse, elle recula la petite table du salon et mit un disque sur la chaîne. Elle nous força à nous lever pour danser avec elle sur une musique entraînante. C’est ce que nous fîmes le temps de ce premier disque. Maria bougeait beaucoup et il était facile de constater qu’aucun soutien-gorge n’entravait la liberté de mouvement de ses jolis petits seins sous le chemisier de soie. De plus, les tétons pointaient sous le tissu et attiraient encore plus nos regards. Pour de bon, ma chérie avait dû avoir des pensées bien coquines pour mouiller sa petite culotte et faire raidir ses jolies pointes.

À la fin du disque, elle dit qu’elle avait soif, tout comme Philippe et moi d’ailleurs et me demanda de nous servir un grand verre de jus de fruit. J’allai jusqu’au réfrigérateur pour constater qu’il n’en restait plus et je décidai alors d’aller en chercher à la cave. Maria avait mis un nouveau disque, de slows cette fois, et elle se colla lascivement contre lui pour danser. Trop lascivement à mon goût, Maria était plaquée corps à corps, et je ne pouvais m’empêcher de penser que quelques fines épaisseurs de tissu n’étaient pas un rempart bien solide contre la convoitise d’un grand méchant loup pour les petits trésors intimes de ma petite chérie. Pensées que je rejetai tandis que je quittai la pièce.

En remontant avec mes bouteilles, je ...