Promesse de vengeance
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
fh,
humilié(e),
vengeance,
pénétratio,
confession,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... alors, tu fais cocu ton mari, non ?
— Oui, c’est vrai, mais je ne sais plus où j’en suis.
— Laisse-toi faire, tu en meurs d’envie.
— Je suis saoule, tu me rends folle et tu en profites.
— Tu es trop mignonne.
— Philippe, attends, je ne suis pas bien là, je préfère que tu me prennes sur le divan.
— Comme tu veux, ma jolie, debout, couchée, demande et je te baise dans toutes les positions que tu veux. Tiens-toi bien, je vais essayer de t’emmener comme ça.
— Je m’agrippe, ne t’inquiète pas, je ne risque pas de glisser empalée comme je suis.
— Je n’ai pas envie de sortir ma queue, elle est trop bien où elle est.
— Alors, ne la sors pas, porte-moi sur le canapé.
Philippe ne se fit pas prier. Ma femme chérie, empalée sur son sexe et agrippée à lui par les jambes et par les bras, mon bon copain la porta sur le canapé. Ma douce et tendre se laissa tomber sur le dos cuisses relevées dans cette position qu’elle affectionnait particulièrement, son amant déjà sur elle. Il ressortit son phallus triomphant du fourreau de ma princesse pour corriger sa position. Cuisses ouvertes et relevées, ma femme attendait, offerte et formidablement impudique, sa fente obscène luisante et rougie par le désir ouverte du pubis à son petit trou bien en vue, le vagin béant et palpitant. Le Mâle guida la verge vers le volcan et pénétra d’un coup dans la lave en fusion.
Tout cela se passait sous mes yeux et ceux de notre voisin ; depuis tout ce temps nous n’avions toujours pas bougé d’un ...
... millimètre, comme si nous avions peur de déranger ; nous assistions à la copulation adultère depuis de longues minutes, mais mon voisin voulait sans doute en voir plus. En vérité, je ne sais pas ce qu’il aurait pu voir de plus, la cochonne avait relevé ses cuisses et ses fesses, elle nous offrait sa fente ouverte de l’anus au pubis. Un spectacle scabreux et inespéré, pensez donc, voir sa voisine se faire tringler par son amant, qui plus est en compagnie de son cocu de mari ! Il me jetait des œillades en me faisant signe de ne pas faire de bruit, il voulait tout voir jusqu’au bout et je vis qu’il bandait. Moi, je ne savais plus où j’en étais, j’étais déstabilisé et paralysé, incapable de prendre une décision, m’enfuir ou me jeter sur mon rival pour lui casser la figure.
Qu’est-ce qu’il lui mettait, il la chevauchait sans ménagement, une charge à la hussarde, avec violence, des allers et retours du gland jusqu’aux couilles qui battaient sur les fesses tendues, nous pouvions entendre leurs chairs s’entrechoquer. Un étranger aurait pu trouver l’homme brutal, l’étreinte trop violente, moi je savais combien ma chérie aimait être prise de cette façon, et son amant avait compris qu’elle ne demandait que ça. Tandis qu’elle était si copieusement ramonée, ma femme roucoulait :
— C’est ma position favorite, sur le dos les cuisses relevées, c’est trop bon, bien au fond.
— À la missionnaire, comme papa !
— Pour moi, ce serait plutôt à la hussarde, comme une fille à soldat.
— Et c’est ...