1. Promesse de vengeance


    Datte: 16/04/2021, Catégories: fh, humilié(e), vengeance, pénétratio, confession, Auteur: Monkypython, Source: Revebebe

    ... la queue ma salope.
    — C’est toi le salaud, tu as vu comment tu m’as baisée !
    — Bien j’espère ?
    — Plus que bien, j’ai joui comme une folle.
    — Il y aura une prochaine fois alors ?
    — Si tu me baises toujours comme ça, tu peux revenir tant que tu veux.
    — Dommage pour ton mari, je sens que tu vas le faire beaucoup cocu.
    
    Après un deuxième temps d’arrêt, l’amant leva les yeux sur les spectateurs et me fixa, au comble de la surprise. Comme il semblait tétanisé, ma femme, allongée et écartelée, protesta :
    
    — Qu’est-ce qui t’arrive ? Tu es bloqué ?
    — Non, c’est ton mari !
    — Qu’est-ce que tu lui veux à mon cher mari maintenant que tu m’as baisée ?
    — Il est là.
    — Quoi ?
    
    Elle se déplaça pour pouvoir tourner la tête dans notre direction, porta son regard sur notre voisin puis sur moi, puis passa son regard incrédule de l’un à l’autre. Le temps sembla se figer pendant une éternité, puis sa réaction fut fulgurante. Son amant se retrouva en un clin d’œil en érection hors du fourreau si accueillant, sa queue baveuse laissant encore échapper quelques filets de sperme. Maria bondit alors hors du canapé tandis que Philippe essayait de remonter son pantalon en toute hâte. J’étais abasourdi : elle était décoiffée, complètement dépoitraillée, sans culotte, la jupe ouverte jusqu’à la ceinture sur son pubis, et maculée de foutre ; en plus du rouge à ...
    ... lèvres qui lui barbouillait tout le bas du visage, ses lèvres, son menton étaient rougis par la frénésie de ses baisers et surtout son regard hagard la trahissait ; elle ne pouvait nier son trouble, et moi qui la connaissais si bien, j’y lisais le plaisir qu’elle venait de prendre. Après les premières secondes de panique, Maria attrapa tranquillement sa petite culotte, arrangea un peu son chemisier et quitta la pièce. En passant, elle agita sa petite culotte comme pour saluer son public et jeta au voisin :
    
    — Alors, ça vous a plu ? Vous pouvez me laisser passer, s’il vous plaît, ça coule, je dois filer aux toilettes.
    — Excusez-moi, je ne voulais pas déranger.
    — Vous ne me dérangez pas, nous avons fini. Laissez-moi passer, s’il vous plaît, je dois aller laver mon minou maintenant.
    — Pardon, oui bien sûr, allez-y.
    
    En passant avec toute la dignité dont elle était capable avec ses charmes à l’air, elle m’assena une petite phrase en aparté dont je ne retins que deux syllabes cinglantes au creux de l’oreille : « COCU » !
    
    Le voisin formula une vague politesse avant de retourner sur ses pas, il avait un sourire de contentement qui en disait long, bigre, ce n’est pas tous les jours qu’on voit une femme se faire baiser de la sorte. J’entendis la porte d’entrée se refermer doucement, comme à regret, comme s’il avait envie de connaître la suite. 
«12...14151617»