Promesse de vengeance
Datte: 16/04/2021,
Catégories:
fh,
humilié(e),
vengeance,
pénétratio,
confession,
Auteur: Monkypython, Source: Revebebe
... pourrait se retrouver tous les trois comme maintenant, j’aimerais bien que tu racontes à mon mari tout ce que sa petite femme a fait avec toi, pour le convaincre que je suis un bon coup. Tu le ferais ?
— Ce ne sera pas très sympa pour ton mari, ce serait même un rien sadique, mais s’il faut le faire pour devenir ton amant, je le promets. Quelle femelle, tu me fais baver d’envie. C’est plutôt excitant de t’imaginer au pieu, ça ne fait aucun doute que tu es un bon coup. Je fantasme déjà de jouer à la bête à deux dos avec toi quand tu seras décidée.
— Dis-lui que tu aimerais aller au pieu avec elle tant que tu y es !
— Sans vouloir te vexer ou te manquer de respect, oui ! Ta femme m’excite et après tout ce qu’elle a raconté, j’aimerais bien passer un petit moment intime avec elle, si tu vois ce que je veux dire.
— Tu me dis gentiment que tu te taperais volontiers ma femme, c’est bien ça ? Tu y vas fort, non ? Tu oublies sans doute qu’elle est mariée et que je suis le mari.
— Ce sera peut-être pour une autre fois, pour le moment je ne me suis pas encore décidée à tromper Bernard, même avec toi…. Je ne devrais pas te le dire, mais c’est peut-être toi que je choisirai, sois patient, mon gentil petit mari ne va pas tarder à porter ses premières cornes. Pour le moment, c’est lui qui me baise, bientôt qui sait, tu me baiseras peut être, toi aussi. Je suis folle de dire des choses si intimes devant toi.
— Plus tu parles, plus tu nous excites !
— Lui, tu l’excites, moi tu ...
... m’énerves. Ma pauvre fille, il vaut mieux que tu ne boives pas si c’est pour dire des conneries pareilles.
— C’est vrai que j’ai trop bu, je suis saoule. Si j’étais dans mon état normal, je ne dirais pas que j’aimerais qu’il ait une belle queue et qu’il sache s’en servir, je ne dirais pas non plus que j’ai de plus en plus envie de m’envoyer en l’air avec lui.
— Je n’en reviens pas que tu puisses dire ça.
— Ben tu vois, je l’ai dit. Bon, on arrête maintenant. Ça va trop loin. En guise de gâteries, vous allez vous contenter de friandises et d’un bon café pour le moment.
J’avais relevé l’embarras de Maria. J’étais moi-même choqué que mon ami puisse dire si ouvertement à ma femme qu’il aimerait la sauter, même si c’était sur le ton de la plaisanterie. Elle lui avait répondu en le regardant dans les yeux, visiblement plus troublée qu’elle ne voulait le montrer par les avances sans équivoque de Philippe. Le pire, c’est qu’elle ne les avait pas repoussées, bien au contraire, et ça, ça me chiffonnait, car je savais que lui comme n’importe quel homme serait tenté de profiter de la situation. Elle se leva de table, et nous la suivîmes jusqu’au coin salon. Philippe et moi prîmes place sur le grand divan, et Maria s’installa en face de nous sur l’autre canapé. Nous bûmes également un digestif, et ma femme, contrairement à son habitude, se servit une liqueur. Je pensais en mon for intérieur qu’elle risquait d’être complètement saoule.
Elle regagna sa place et se laissa glisser en ...