1. Sous la pluie


    Datte: 08/05/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, sm, nostalgie, occasion, fbi, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... ne suis pas gouine ; pour moi, il n’y a rien de tel qu’un mec bien membré. Mais lorsqu’il n’y a pas de queue en vue, il faut bien se contenter de ce qu’on a. On peut se branler, c’est sûr, mais avec une partenaire c’est tout de même mieux. Si elle y met beaucoup de vigueur, c’est encore mieux car lorsqu’il y a trop de douceur, ça me fait rapidement pioncer, mais rarement ronronner. Je suis plus tigresse que chatte.
    — Et le second changement ? demande Jacques qui ne tient pas à épiloguer sur le sujet de l’homosexualité avec lequel il est assez peu tolérant.
    — Le second changement, c’était avec mon troisième mec. Avec lui, il y a eu une sorte de déclic ; j’ai compris comment ça marchait, qu’il n’y avait pas que le mec qui devait bouger en moi. Je pouvais et je devais moi aussi le faire bouger en moi. Tu vois en bougeant comme ça, en faisant ce type de mouvement.
    
    Leïla, tout en parlant, mime des mouvements de son corps ressemblant à s’y méprendre à une cavalière lascive sur une haquenée.
    
    — J’avais compris comment on pouvait être actif, y compris dans des positions où on est considéré comme plus passif, comme celles du missionnaire ou la levrette. Qu’on soit dessus ou dessous, il ne faut jamais subir, mais au contraire accompagner.
    
    Sur ce, elle se jette sur Jacques pour partir vers de nouveaux tumultes pleins de jouissances et de bonheur. Du mouvement, elle en met puisqu’elle vient se planter dans la posture d’Andromaque sur le sexe dressé, après quelques habiles ...
    ... succions. Jacques a devant lui le corps dressé de cette fille, tel un serpent prêt à l’attaque, avec au premier plan deux magnifiques nichons qui tanguent. Il les pelote ardemment. Il ressent le plaisir de sa queue coulissant dans le conduit humide qui se resserre par intervalles sous l’action des muscles abdominaux de la belle alors qu’elle fait tournoyer son popotin autour de la cible. Elle arrive à ses fins et reçoit la semence au fond de son con brûlant.
    
    La fois suivante, Jacques, après quelques coïts intenses, demande à sa maîtresse :
    
    — Tu m’as dit que tu avais un copain.
    — Oui, Marc-Antoine.
    — Et il sait qu’avec moi…
    — T’es con ? Tu n’imagines quand même pas que je lui raconte comment j’utilise mon con avec d’autres mecs ? C’est un bourge. Avec lui, ce n’est pas le 14 juillet tous les jours, rapport au mât de cocagne. Les parties de jambes en l’air mémorables ne sont pas légion. Il est trop gentil, trop doux, trop coincé. Au lit, ce n’est pas fun, et j’ai même l’impression que la nudité lui pose un vrai problème : toujours à se rhabiller après l’acte, n’acceptant pas que nous soyons tous les deux dans la salle de bain… Si je l’écoutais, on devrait faire l’amour habillé et dans le noir. Il se limite à une seule position : celle du missionnaire. Rien de plus ennuyeux ! J’ai d’abord pensé qu’il avait besoin de temps avant de se lâcher vraiment. Mais rien n’a changé, nos galipettes étant de plus en plus fades. J’ai essayé de lui faire comprendre que je voulais autre ...
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