1. Sous la pluie


    Datte: 08/05/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, sm, nostalgie, occasion, fbi, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    Cette histoire débute en 1970, une époque bénie où le SIDA n’existait pas, où la libération sexuelle faisait son œuvre et où les jeunes pouvaient faire l’amour sans entrave. Par ailleurs – n’en déplaise aux amateurs de sexes glabres – c’était une époque où les femmes et les hommes portaient le poil fièrement, alors qu’il était encore proscrit dans les magazines et les films.
    
    On aime toujours plus ce qu’on ne peut pas voir.
    
    Lorsque Jacques s’engouffre sous le porche de son immeuble, la pluie se met à tomber. Une averse drue et soudaine qui surprend les passants. Lui-même est mouillé bien qu’il ne soit resté que quelques instants sous les trombes d’eau. La porte de son immeuble se referme lentement quand soudain elle se rouvre et fait apparaître une jeune fille qui est trempée. Ses vêtements lui collent à la peau, dessinant un corps menu mais aux formes agréables. Elle est dégoulinante. Elle regarde Jacques et lui dit plaintivement :
    
    — Vous ne pouvez pas me jeter dehors sous cette pluie… Je ne suis pas de l’immeuble, mais dès que le temps sera sec je partirai.
    — Vous ne pouvez pas rester trempée comme vous l’êtes ; vous allez attraper du mal. Venez chez moi vous sécher. Je m’appelle Jacques.
    — Moi, c’est Leïla. Merci.
    
    Dans l’ascenseur, Jacques détaille la jeune fille : petite, avec de jolies formes, un regard effronté, une chevelure brune teinte au henné lui tombant sur les épaules. Ses cheveux collés par l’eau et son minois parsemé de gouttelettes lui donnent ...
    ... l’air d’une sauvageonne. Dans son appartement, il lui montre la salle de bain en lui disant :
    
    — Vous trouverez un peignoir, le temps de faire sécher vos vêtements. Je prépare une boisson chaude ; thé ou café ?
    — Un thé, merci.
    
    Quelques instants plus tard, Leïla sort de la salle de bain. Jacques reste médusé : elle est totalement nue, n’ayant pas revêtu le peignoir. Jacques reste statufié comme s’il avait croisé le regard de la méduse à la tête hérissée de serpents. Pourtant c’est un bien plus beau spectacle qui s’offre à lui, Leïla étant absolument ravissante. Elle lui lance un sourire malicieux :
    
    — Je préfère rester nue ; c’est mieux ainsi, vous ne trouvez pas ? Mon compagnon ne supporte pas que je me balade à poil chez lui. Alors qu’avec vous, je crois que c’est possible, alors j’en profite. Ça ne vous dérange pas, n’est-ce pas ?
    — Euh, non, non… pas du tout.
    — Mettez-vous à l’aise aussi. Regardez, votre chemise et votre pantalon sont tout mouillés.
    
    Sans hésiter, elle enlève la chemise du jeune homme et déboutonne son pantalon. En un instant Jacques se retrouve en slip devant elle. Une bosse tend le tissu, ce qui n’échappe pas à Leïla.
    
    — Vous paraissez en forme. Allez, vous pouvez le retirer ce slip, j’ai déjà vu le loup. Ne soyez pas timide.
    
    Jacques obéit malgré lui. Ils sont à présent tous les deux nus, l’un en face de l’autre. Leïla détaille avec franchise le corps de l’homme. Il dissimule son sexe derrière ses mains, mais finit par les ôter devant les ...
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