1. Sous la pluie


    Datte: 08/05/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, sm, nostalgie, occasion, fbi, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... sont retrouvés en France. Ils ont vécu dans un bidonville où est né mon frère qui a été prénommé Abd-el-Kader. Abd-el-Kader Barrault, un nom bien bourguignon de ma mère, qui n’en est pas restée là. Elle s’est fait engrosser une deuxième fois, et là c’est bibi qui a vu le jour dans cette situation de merde. L’arbi disparu, ma mère a trouvé un remplaçant. Il ne lui offrait peut-être pas un feu d’artifice au pieu, mais elle avait eu son compte avec notre père qui était, à ce que j’ai compris, un bon coup. Enfin, un peu moins de cul, mais bien plus de fric. Tant mieux pour elle, même si pour nous, les enfants naturels, les « bâtards », nous nous sommes retrouvés en pension. Le nouveau mec de ma mère ne voulait pas avoir d’un « bicot » et d’une « ratonne » dans les jambes, encore que la « ratonne » que je suis, avec les années, il l’aurait bien sautée.
    
    Elle parle aussi de son premier amant, qui était beaucoup plus âgé qu’elle.
    
    — Bien qu’élevée chez les Sœurs, je n’ai jamais été une enfant de Marie. Quand j’ai rencontré cet homme, j’ai flashé sur lui. Je croyais que je l’aimais et je pensais que c’était réciproque. Je ne me suis pas posé de questions : si on s’aimait, il était normal qu’on couche ensemble et qu’il me saute. Il m’a déflorée, ça s’est bien passé. Ensuite on a fait l’amour plusieurs fois. Mais j’ai trouvé ça extrêmement banal : lui dessus, moi dessous, son vit qui joue le trombone à coulisse dans mon con, paf, une bonne giclée et extinction des feux. J’étais un ...
    ... peu déçue, tout de même… Il n’y avait ni douleur, ni jouissance. Dans la foulée, il m’a incitée à lui faire une fellation. C’était peut-être un peu précipité ; il a dirigé les choses, et ça m’a un peu traumatisée. Enfin, sur le coup, car par la suite je n’ai pas trouvé ça dégueu, même assez jouissif de sentir la queue qui gonfle dans ma bouche. Depuis, j’avale aussi ; la première fois je me suis fait surprendre, mais maintenant c’est toujours en connaissance de cause, c’est même par goût personnel. En tout cas, ça évite de récolter un chiard lorsque la période est propice. Comme il habitait assez loin, notre relation n’a duré que deux mois.
    — Et après ce premier amant, demande Jacques dont la curiosité s’éveille, il y en a eu d’autres ?
    — Par la suite j’ai eu un autre copain. RAS. Et puis il y a eu deux tournants qui ont tout changé dans ma manière d’appréhender le sexe. Le premier, c’est lorsque j’ai ressenti de l’attirance – un vrai attrait, une attraction sexuelle – pour une fille. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Comme elle était particulièrement délurée, on a fricoté ensemble. On a voulu se branler l’une devant l’autre dans la salle de bains, puis je suis venue lui toucher les nichons, la vulve, le trou du cul. Elle a fait pareil. Comme nous étions des novices dans les jeux saphiques, on a improvisé, et j’ai trouvé ça tout simplement extra. On a fait joujou de bien des façons toutes les deux.
    — Tu es gouine ? Ou bisexuelle ?
    — Non, non, ni l’un, ni l’autre. Je ...
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