Sous la pluie - Histoires de Sexe

Sous la pluie

... chose pour rendre nos relations sexuelles plus excitantes, mais j’ai toutes les peines à la faire bouger.
— Pourquoi tu ne le quittes pas ?
— À cause du pognon. Il est plein aux as, alors j’en profite. C’est toujours mieux d’être la pute d’un seul mec qui te respecte et qui ne te cogne pas que d’être la pute de dizaine d’obsédés ou mal baisés et faire le tapin dans la rue, avec un maquereau qui te pique ton blé. Oh, on baise tout de même ; la dernière fois, c’est hier soir. Il n’y a pas d’orgasme, ni de plaisir physique, mais c’est bien quand même. Tu vois, la semaine dernière, j’ai joui. Je n’ai pas eu d’orgasme mais j’ai joui. Je me suis mise dans une position où j’avais des chances d’avoir du plaisir. Ça dépend beaucoup de la position. Et puis je me dis que je vais prendre mon pied avec toi et je prends mon mal en patience en attendant un truc plus sportif. C’est pour ça que si tu me bouscules un peu, ça ne me dérange pas ; au contraire, ça me sort de mon quotidien. Et je crois que j’aime ça lorsque ça bouge.

Au fur et à mesure de leurs rencontres bihebdomadaires, les étreintes se font de plus en plus chaudes, de plus en plus brutales, pour le plus grand plaisir de Leïla qui demande à son partenaire de se lâcher.

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Un jour, elle arrive, et ayant ôté ses vêtements elle se met à quatre pattes sur le lit et dit avec son air effronté inimitable.

— Tu sais, si tu étais très gentil, tu pourrais me… Regarde comment je suis placée, mon ...

... chéri.
— Tu veux que je te prenne en levrette ? répond Jacques qui n’y voit pas d’inconvénient bien qu’il ne comprenne pas cette entrée en matière.
— Non, réfléchis un peu…
— Tu veux quoi ? Tu veux une feuille de rose ? Tu veux que je joue avec un doigt dans ton derrière ?
— Non, non, répond d’un air irrité Leïla, ce n’est pas ta langue ni tes doigts que je veux dans mon cul.
— Alors quoi ? Tu voudrais que j’y mette ma pine ?
— Ah, enfin ! Tu comprends vite mais il faut t’expliquer longtemps. Je veux que tu m’encules. Tu as compris cette fois ?
— Tu vas avoir mal.
— Ça, c’est mon problème. Tu crois que tu prends un pucelage ? Mon cochon, j’ai reçu presque autant de queues dans mon con que dans mon moule à merde. C’est un orifice très pratique pour éviter de se faire mettre en cloque. Parce que justement, c’est le moment propice que je choisirais si je voulais un marmot, ce que je ne veux pas. Donc interdiction d’aller visiter mon con.
— Même si je me retire juste avant d’éjaculer ?
— Trop dangereux, non, non. Bien sûr, je pourrais te sucer et avaler ta semence, mais je suis certaine que ta queue sera ravie de se sentir bien au chaud dans un conduit étroit.
— Tu crois que ça pourra entrer ?
— Tu es bien membré, mon chéri, mais j’ai connu des queues plus dodues que la tienne et elles sont entrées. Je te dis que je suis aussi large derrière que devant ! Ça entrera comme dans ma bouche. Tu peux y aller. Fouille dedans comme dans un con. Je ne l’ai pas sensible. À la bonne ...