1. Sous la pluie


    Datte: 08/05/2018, Catégories: fh, jeunes, couleurs, Masturbation facial, Oral pénétratio, fsodo, sm, nostalgie, occasion, fbi, Auteur: Drulin, Source: Revebebe

    ... Justine, il s’élance sur son « malheureux corps » ; de ses mains il le pince, le pétrit, le malaxe « pour qu’aucune de ses parties ne soit exempte de leurs furieux assauts. » Pourtant Leïla, contrairement à Justine, ne repousse pas ces assauts : elle se complaît dans la « perfide luxure » de son bourreau et ne ressent aucune honte, aucun remords. Seulement la douleur, une douleur si vive, si soudaine qu’elle apporte la jouissance la plus extrême.
    
    — C’en est assez ! Je quitte ton cul pour déverser mon foutre sur ton visage. Ouvre la bouche, et avale toute ma semence ; ne va pas en perdre une goutte ! Prends en bouche cette queue qui sort de ton cul, que tu goûtes ta merde.
    
    Les puissants jets de sperme inondent la bouche de Leïla qui manque de s’étouffer.
    
    — Eh bien, Leïla, c’est donc cela que tu recherches dans le sexe ? Tu veux vraiment être traitée comme les pauvres héroïnes de Sade ? Veux-tu réellement que tes partenaires soient aussi sadiques que les tortionnaires qu’elles rencontrent pour leur plus grand malheur ?
    — C’était extra ! répond Leïla, les larmes aux yeux. J’ai dérouillé, oui, mais j’ai joui comme jamais. Oh, si seulement tu pouvais me baiser ainsi plus souvent, mon amour ; ta note serait alors de 16/20, voire un peu plus. Pour atteindre les 18, il faudrait que tu mettes ces menaces à exécution : par ...
    ... exemple que tu ailles m’attacher à un arbre en forêt et que je sois livrée sans défense à des satyres lubriques. Je me demande si on peut jouir tant sans souffrir… Qu’a fait Justine après avoir été violentée par des chiens ?
    — « Entièrement livrée à ma douleur » commence Jacques qui est allé prendre un livre dans la bibliothèque, « je me laissai tomber au pied de l’arbre ; et là, lui donnant le plus libre cours, je fis retentir la forêt de mes gémissements ; je pressai la terre de mon malheureux corps et j’arrosai l’herbe de mes larmes. »
    — Je n’ai jamais tenté la zoophilie ; mais prise par un chien, tu crois que ça vaut le coup ?
    — Ma pauvre, tu n’es pas un peu malade ?
    
    Puis, soudainement, Leïla reprend conscience du monde réel, se lève sur son séant et demande à Jacques :
    
    — Mais, tu n’es pas au travail ?
    — Je me suis engueulé avec mon chef ; je lui ai dit que c’était un con et qu’il n’était pas question que j’exécute des ordres imbéciles, que ce n’était pas en engueulant ses subalternes que le boulot serait mieux fait. Il m’a envoyé au bureau du patron, que j’ai envoyé chier, et je me suis cassé.
    — Tu es donc libre comme l’air ! Ne discute pas : tu viens avec moi dans la communauté dont je t’ai parlé.
    — Je ne sais pas si ça me plaira…
    — Tu verras bien. Si tu n’adhères pas, tu repars et on n’en parle plus.
    
    [à suivre] 
«12...78910»