1. Chronique intime de la rue des Alliés


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, fplusag, hagé, fagée, extracon, grosseins, poilu(e)s, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait, Humour occasion, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... vieux fauteuil en cuir. La croupe bien tendue vers le plafond, sa main émergea d’entre ses cuisses béantes pour se saisir de ma verge et la guider vers un orifice qui me sembla minuscule. Ma première sodomisation me laissa dubitatif, on était vraiment à l’étroit et mon éjaculation en fut contrariée. Le plus extraordinaire, c’est que Georgette tint ses promesses et ne me proposa jamais une nouvelle récréation extraconjugale.
    
    Le jour même où ma fille m’annonça qu’elle allait se marier, mon ami Armand nous quittait. Armand était le plus illustre habitant de la rue des Alliés, car il avait publié un livre très documenté sur l’histoire du village. Ancien instituteur, érudit en histoire, écologiste avant l’heure, c’était le côté pile du bonhomme. Le côté face était moins brillant : mari infidèle, paillard invétéré, pilier de bistrot et adorateur de Napoléon, le petit homme qui avait sacrifié des millions de conscrits français. Sa veuve me donna sa vieille caméra Panasonic, au format VHS. Une pièce de musée dont leurs enfants n’avaient que faire. La batterie était nase, mais en branchant directement sur le secteur, une cassette apparut dans le tiroir d’éjection. Connaissant le loustic, je m’empressai d’y jeter un coup d’œil, séance tenante. Je ne m’étais pas trompé.
    
    La première séquence se passait dans un des chemins de terre, au bord d’un champ de colza. Armand se trouvait assez loin de la scène qu’il filmait, certainement planqué derrière des buissons. La portière arrière de ...
    ... la Mercedes était ouverte, la dame, troussée jusqu’à la taille, se débarrassa de sa petite culotte et appuya son buste sur la banquette de la voiture. Un mec aux tempes argentées, le pantalon sur les chaussures, se l’enfila gaillardement en levrette.
    
    La seconde scène se passait dans une salle de classe, et je reconnus Irène, une brave mère de famille dont le mari s’était barré. La mairie l’utilisait comme femme de ménage dans les écoles car elle était sans ressource. Irène souriait timidement et remercia le caméraman, en faisant disparaître des billets de banque dans la poche de son jean. Armand filma, en plan américain, Irène qui s’agenouilla devant lui, déverrouilla sa ceinture, lui baissa pantalon et slip. Le pervers zooma sur le visage de la brave dame qui lui taillait une pipe, tranquillement, sans état d’âme.
    
    La qualité de l’image devint limite dans l’indiscrétion vidéo qui suivit. Le pervers devait filmer, à travers une vitre. Une de ses belles-filles se maquillait en petite culotte, devant le miroir situé au-dessus du lavabo, en écoutant la radio. Elle augmenta le son dès qu’une chanson de Voulzy fut programmée et commença à se faire une petite gâterie en passant une main sous sa culotte.
    
    Dans la dernière séquence, Armand ne tenait pas la caméra, il était acteur. La scène se passait sur une pelouse. La célébrité de notre rue honorait, sur une couverture, une opulente dame très excitée qui jubilait de plaisir. Ce qui était certain, c’est que la grosse dame ne ...
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