1. Chronique intime de la rue des Alliés


    Datte: 03/03/2021, Catégories: fh, fplusag, hagé, fagée, extracon, grosseins, poilu(e)s, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, portrait, Humour occasion, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... refusé poliment, on a sa dignité quand même. Elle avait grossièrement insisté en prônant le fait que, à titre exceptionnel, elle consentait à ce que j’utilise sa petite entrée de service, normalement réservée à son époux légitime !
    
    Madame Douche… m’accueillit chaleureusement. Ses grosses lunettes rectangulaires lui donnaient un air d’institutrice du siècle dernier, bien qu’elle n’ait pas encore atteint la soixantaine. Elle était habillée sans aucune originalité : Jupe droite grise, chemisier blanc, bas couleur chair et talons plats, vu que son mari mesurait une tête de moins qu’elle. Il avait bien de la chance, Alphonse, le mari, car son épouse était dotée d’une paire de nichons somptueux. Des seins lourds, volumineux, qu’un soutien-gorge renforcé, dont on voyait l’armature qui tendait le chemisier, avait du mal à contenir. Madame Douche… sembla un peu perturbée par mon regard qui s’attardait lourdement sur les reliefs du chemisier et, alors que son petit mari me saluait avec un torchon à vaisselle sur l’épaule, elle m’exposa leur problème pour dissiper sa gêne.
    
    Ils avaient payé une première facture pour la réparation de la voiture, mais cinq jours après, la même panne s’était reproduite. Le concessionnaire embêté leur avait fourni un véhicule de courtoisie et il avait enfin trouvé la cause réelle de la panne, mais il voulait que la famille Douche… paie aussi la seconde facture de réparations. Alphonse, qui ne voulait pas d’histoires, avait réussi à obtenir le ...
    ... paiement en trois fois, mais son épouse, Simone, ne l’entendait pas du tout de cette oreille. La loi (obligation de réussite du réparateur) donnait raison à Madame.
    
    Une entente à l’amiable valant mieux qu’une mise en demeure au tribunal d’instance, je proposai de téléphoner de suite au responsable technique du concessionnaire. Alphonse paniqua devant ma hardiesse, il essaya même de me dissuader d’intervenir si brutalement. Simone l’envoya promptement préparer les pieds de tomates à repiquer qu’ils avaient prévu de m’offrir pour me remercier. Exit la confiture maison et tant mieux.
    
    — Mon mari a peur de tout, il a peur que le garage ne l’accepte plus comme client si vous intervenez, il refuse de prendre l’avion, il ne veut pas faire de croisière parce qu’il ne sait pas nager et en autobus, il vomit ! Il a même refusé, sans me le dire, un poste de chef d’équipe car il craignait de ne pas être à la hauteur… Ce n’est pas parce que l’on mesure un mètre soixante-trois qu’on doit être un poltron, l’histoire l’a prouvé, non ?
    
    Je pris le prétexte de consulter mes documents juridiques pour éviter de répondre à cette mise en cause aussi brutale qu’inattendue. Au téléphone, en me présentant, abusivement, comme un des délégués départementaux de l’union des consommateurs et en lisant l’article de loi faisant référence à l’obligation de réussite des artisans, le responsable technique se fit mielleux. Il allait en référer au grand chef qui nous rappela dans les dix minutes. Après une ...
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