Chronique intime de la rue des Alliés - Histoires de Sexe

Chronique intime de la rue des Alliés

... malheureux qui bossait à genoux au sol, l’ouverture de son tablier de travail s’élargissait. Il manquait le premier bouton du tablier qui se fermait par une rangée de rondelles nacrées sur le devant. Un sein blanc se découvrait, presque totalement, dépourvu de toute entrave, il me narguait fièrement, couronné de sa large aréole cramoisie.

Quand il fallut que Georgette m’aide en tenant le châssis de la boîte de fusibles pour que je perce les trous des chevilles, elle s’accroupit sur le côté pour me libérer de l’espace. En serrant mon foret, j’essayais de garder mon calme, car mon attention était obnubilée par une splendide touffe de poils. Georgette maintenait la boîte, mais le bas de son tablier était remonté jusqu’à ses cuisses, et ses jambes entrouvertes dévoilaient une toison si abondante qu’on distinguait difficilement son minou. Bien sûr elle surprit mon regard libidineux et en comprit l’origine. Elle rigola simplement.

— Je suis désolée Pierre, ça n’était pas du tout prémédité mais, sous les fortes chaleurs, je ne supporte pas de sous-vêtements.

C’est en me relevant que je subis la grosse honte de l’année ; je ne m’étais rendu compte de rien pourtant.

— On dirait que votre voisine vous fait de l’effet !

Mon phallus avait sournoisement décidé de prendre ses aises, et une monstrueuse érection déformait mon boxer de bain. Georgette trouva qu’il ne serait pas charitable de me laisser dans cet état. Elle empoigna le bout de viande, le sortit du short et elle ...

... s’inclina pour le goûter du bout des lèvres.

— Je ne suis pas une briseuse de ménage et je trouve ta femme charmante, alors on va le faire, bien sûr, mais une seule fois, aujourd’hui, parce qu’on en a envie tous les deux, c’est tout. On aura un gros secret en commun. Ma proposition te convient ?

Je me montrai un peu coincé au début, mais on fut rapidement sur la même longueur d’onde. Après des préliminaires fastueux, je besognai Georgette, assise sur le bord de la table en formica de la véranda. Comme on dégoulinait de transpiration tous les deux, on fit une pause serviette-éponge. Curieusement, ma voisine en profita pour s’emparer d’un pot de miel dans le réfrigérateur et pour m’entraîner dans son salon. En fouillant dans un tiroir, elle en extirpa une boîte entamée de préservatifs et me la tendit.

— J’ai le derrière tout propre, mais on ne lésine pas avec l’hygiène chez Georgette. Fais pas semblant d’être choqué, je suis certaine que tu n’oseras jamais proposer ça à ton épouse, alors profite de l’occasion… Moi j’aime bien de temps en temps, ça change ; pas avec mon con de mari bien sûr ; c’est déjà pas mal que je lui ai donné un fils. Heureusement, pour les deux filles, je me suis adressée à des partenaires plus intelligents.

Sans aucune gêne, Georgette trempa deux doigts dans le miel et lubrifia abondamment son orifice anal pendant que j’enfilais mon préservatif. Elle redonna de la vigueur à mon membre avant de poser son buste sur l’accoudoir, à l’extérieur d’un ...