1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (3)


    Datte: 26/02/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... !
    
    Je suis devenue blanche comme la mort, il me prenait l’envie de frapper ce monstre. Comment avais-je pu tout sacrifier pour un tel homme ? J’avais, pour lui, quitté Philippe et accepté d’être séparée de mes enfants et de ma compagne Agun.
    
    Je me réveillais soudain : il n’était pas question que je sois loin d’eux plus longtemps.
    
    • Dans ces cas-là, il ne me reste plus qu’à partir, N !
    
    • C’est comme tu veux, je te rappelle que c’est toi qui a débarqué ici, sans crier gare. Je ne te retiens pas, je ne t’ai rien demandé !
    
    • Je t’aimais N. !
    
    • Eh bien moi, quand je t’ai vu dans cet hôtel, je t’ai voulu et tu t’es donnée à moi sur cette plage, comme une putain. Je ne t’ai jamais aimé Olga, même si je reconnais avoir passé avec toi des moments exceptionnels. Tu sais, je ne suis pas Philippe, tu es une femme qu’on conquiert, qu’on baise, mais pas avec laquelle on construit un couple. Je ne veux pas vivre avec une garce nymphomane.
    
    • Tu es un salaud, N. Je porte ton enfant !
    
    • Je te le répète : c’est toi qui l’a voulu, débrouilles-toi si tu veux le garder. Je voulais aussi te dire que depuis plusieurs semaines, j’ai rencontré une autre femme, plus jeune que toi. Je l’aime, je veux l’épouser, construire une famille avec elle. D’ailleurs, elle va venir habiter ici. Bien évidemment tu lui laisses la chambre conjugale, tu prendras la chambre d’amis. Elle a l’esprit ouvert, elle est même d’accord que je te baise de temps en temps car elle sait que tu en as besoin. ...
    ... En échange, tu continueras à t’occuper de la maison.
    
    • Tu es odieux ! Pour qui tu me prends ? L’idée d’entendre vos ébats m’est insupportable.
    
    • Dans ces conditions, il est plus que temps que tu t’en ailles et que je n’entende plus parler de toi. C’est fini, Olga !
    
    • Tu me mets dehors ? Tu t’en fiches bien de ce que je vais devenir. Mais rassures-toi, c’est moi qui m’en vais.
    
    • Je ne m’inquiète pas. Une nympho comme toi saura toujours s’en sortir ! Ca te rappellera l’époque de Rachid. Sinon, retourne chez ta gouine et ton cocu, ils sont assez bêtes pour t’accepter ! Dégage !
    
    Je pâlis devant l’injure et me retiens de me jeter sur lui, car il ne mérite pas une scène. Je rassemble rapidement quelques affaires dans une valise et je m’en vais sans un mot. Cet homme qui m’a bafoué et humilié, n’aura droit ni à mes cris, ni à mes larmes.
    
    Je suis partie sans me retourner, sans un mot, consciente d’avoir commis la plus lourde erreur de ma vie.
    
    RECONCILIATION : PREMIERE ETAPE
    
    Une fois dans la rue, avec le peu d’argent dont je dispose, je sais que je dois réagir rapidement. Je veux garder l’enfant que je porte et que j’ai voulu. Je ferai pour essayer de réparer tout ce que j’ai brisé, même si, lucide, je crains que ce soit définitif.
    
    Je suis cependant déterminée à me battre. Pour cela, il faut que j’assume mes fautes et il appartiendra à ceux et celles que j’ai trahis de décider de ce que nous ferons. Je remettrai mon destin entre leurs mains.
    
    La première ...
«12...456...»