1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle : du candaulisme à l’adultère (3)


    Datte: 26/02/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Olga T, Source: Hds

    ... féconder ma petite chatte qui n’attendait que ça. Nous nous sommes embrassés durant de longues minutes et je sentais son sexe turgescent frotter sur mon ventre. Il commençait à donner des coups de reins à tout va en poussant des cris de jouissances.
    
    Alors que j’enchainais les orgasmes, N résistait longtemps. Mon dernier orgasme, impressionnant, fit céder N qui se mit à éjaculer à grands jets dans mon vagin. Je savais qu’il m’avait fécondée.
    
    Un long silence vint s’abattre sur nous, nous sommes restés sur le lit de notre chambre, nos corps luisants sous le coup de la sueur. Pour la première fois depuis des semaines, j’étais heureuse. Nous nous sommes regardés longtemps, nos deux corps enlacés, nous nous sommes endormis.
    
    OUVRIR LES YEUX TROP TARD!
    
    J’avais sincèrement pensé que cette soirée allait marquer un tournant, faisant de notre liaison un véritable couple, parce que, ce soir-là, je m’étais totalement offerte à N. Je lui avais donné ce que je pensais, il y a quelques mois encore, réserver à Philippe à qui j’avais promis cette dernière conception.
    
    Ce fut au contraire le début de la fin de mon couple avec N, mais je mis du temps à l’admettre, m’accrochant à cette liaison, certaine que, par ma faute, je n’avais plus de retour en arrière possible, que, ni Philippe, ni Agun ne pouvaient pardonner mon attitude.
    
    Je ne voulais pas voir que le comportement de N devenait de pire en pire. Il rentrait le soir de plus en plus tard, me laissait le plus souvent seule le ...
    ... week-end, se montrant envers moi particulièrement désagréable, m’accablant de reproches sur la tenue de la maison, sur ma cuisine, bref sur tout. Moi, jadis si fière, si prompte à réagir, j’encaissais, ne disant rien, ne me plaignant pas. Quand j’étais seule, je pleurais beaucoup, comprenant que j’avais tout gâché, tout perdu.
    
    Ce que j’avais voulu arriva : je n’avais pas mes règles, j’étais effectivement enceinte. Le soir venu, je l’annonçais à N, espérant qu’il serait heureux de cette nouvelle.
    
    Au contraire, il prit un air très contrarié, se contentant de me dire, méchamment : « c’est toi qui l’a voulu »
    
    J’encaissais le coup, je retenais mes larmes, par un ultime sursaut de dignité.
    
    J’ai voulu crever l’abcès :
    
    • N, je voulais te dire, l’avocat qui suit mon dossier en France m’a appelé. Mes affaires se présentent très mal. Je risque de perdre la garde de mes filles.
    
    • Et alors, que veux-tu que ça me fasse ? Je t’ai déjà dit que je n’avais pas envie d’avoir ici tes enfants conçus avec trois pères différents.
    
    • Je suis leur mère !
    
    • Si tu étais une mère, tu ne les aurais pas abandonnés !
    
    • Tu es cruel ! Je l’ai fait pour toi !
    
    • C’est toi qui as voulu venir !
    
    • Je voulais aussi te dire qu’Agun me manque. Je voudrais qu’elle me rejoigne, elle s’installerait dans un autre appartement. Dis oui, je t’en supplie, ça m’aiderait beaucoup si elle était près de moi !
    
    • Tu insistes, il n’en n’est pas question. Je ne veux pas te partager avec ta gouine ...
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