Le curé, le retour
Datte: 23/02/2021,
Catégories:
fh,
grp,
religion,
collection,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
hsodo,
Partouze / Groupe
confession,
délire,
Humour
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... Fontaine pour me calmer, tellement elle me disait du bien sur ma façon de la prendre avec fougue.« Apprenez, Maître du Corbeau, que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. » Et pour autant, je ne peux me résoudre à nier totalement que cette nuit-là j’ai fait des choses que je n’imaginais pas être capable de faire. Continuer sur le même rythme jusqu’à ce qu’elle jouisse alors que je venais de l’inonder profondément. Rebander quelques minutes seulement après avoir craché dans sa bouche, la faire jouir plusieurs fois de suite, la faire hurler comme une truie alors que nous étions en opération depuis plus d’une heure…
J’ai oublié l’espace d’une nuit qui j’étais pour me livrer totalement à son plaisir, et même en sachant que c’était la pire chose qui puisse m’arriver, je ne peux qu’avouer que j’ai adoré ça. Pour elle, sans doute, le fait qu’on me voit plus souvent en soutane qu’à poil a constitué une sorte de victoire personnelle. Elle avait réussi à faire bander un curé, et si j’en crois son enthousiasme, elle ne pensait pas me découvrir aussi « gros », aussi « dur » et aussi endurant. Un coup à prendre la grosse tête.
Nous nous sommes réveillés à même le sol, puant la sueur et le sperme. Je me suis laissé faire une dernière fois, tremblant d’émotion au moment de jouir dans sa petite chatte de future jeune mariée. Il en avait de la chance, le coquin, d’avoir obtenu l’accord d’une telle perle lubrique pour convoler en justes noces !
Nous nous sommes ...
... quittés au matin sur la promesse que tout cela resterait entre nous et qu’elle se consacrerait désormais à son futur mari.
Mais je ne pouvais pas garder ça pour moi. Expier mes fautes m’est apparu comme une impérieuse nécessité, et même si je savais qu’il ne me serait probablement pas d’un grand secours, je suis allé glaner quelque compassion et absolution chez Monseigneur dPlG. Quel crétin je suis !
Il ne m’a même pas laissé terminer. Il m’a assailli de reproches violents, d’insultes à mon ministère. Sa colère rouge ressemblait à s’y méprendre à de la jalousie. Il a fini par se calmer et m’avouer que sa colère était surtout dirigée contre lui-même, qui à une époque avait confessé la mère de demoiselle « de-de », mère aussi déjantée que sa fille et dont l’appétit pour la bagatelle avait manqué de lui coûter sa carrière. Enfin, mon évêque, Monseigneur dPlG, m’avoua qu’à mon âge il avait tout comme moi trempé sa bistouquette dans des moules avides de transgressions, qu’il s’y était vidé les bourses jusqu’à plus soif. Tard dans la nuit, nous avons échangé d’égal à égal sur la vocation, sur le don de soi, sur les écarts de conduite, sur notre amour du Christ, et sur la forme des fesses de la famille « de-de ». Au petit matin, nous étions d’accord pour abandonner l’espace d’une soirée toutes convenances pour profiter des largesses de la future mariée. Il nous serait loisible, ensuite, de nous confesser mutuellement pour implorer le pardon de notre divin Maître, pardon qu’il ne ...