1. Ablation de grains de beauté


    Datte: 20/02/2021, Catégories: fh, médical, Collègues / Travail cérébral, noculotte, Oral fsodo, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... fesses…
    — Tu peux le dire mieux que ça ?
    — Je vais t’offrir mon cul : tu vas m’enculer ! Ça te tente ?
    — Oui, ça me tente d’enculer une praticienne dépravée dans son cabinet. C’est ça qui t’excite ?
    — Énormément, tu n’imagines pas à quel point !
    
    Elle a ouvert le tube de vaseline, s’est mise de dos en se courbant pour déposer une noisette de crème sur son anus.
    
    — Ça fait longtemps que j’y pense, et c’est toi qui vas prendre mon cul ; j’ai envie de ta bite, bien profond comme tu dis !
    
    Puis elle s’est accoudée sur la table de soins en cambrant les reins pour bien faire ressortir son derrière.
    
    J’ai voulu la prendre de face : je voulais voir son visage en m’enfonçant dans son cul.
    
    — Pas comme ça. Assieds-toi dessus face à moi, je veux te voir.
    — Eh bien, tu es toujours aussi vicieux ! D’accord, vas-y.
    
    Je l’ai prise à la taille, l’ai soulevée pour la déposer sur la table. Elle a relevé les genoux pour mieux s’offrir. J’ai glissé ma bite le long de sa fente en descendant lentement vers son petit trou. Bizarrement, je n’ai pas vu le fil du tampon qu’elle devait porter, mais je n’y ai pas porté attention plus que ça. Elle a remonté les genoux pour bien s’ouvrir. Le nœud au bord de son anus, j’ai poussé. C’est entré d’un seul coup grâce à la vaseline. Je me suis enfoncé jusqu’au fond, les couilles collées contre ses fesses.
    
    La bouche ouverte, un son guttural est sorti de sa gorge.
    
    Je me suis reculé sans sortir complètement, puis j’ai investi son trou et ...
    ... entamé un pilonnage régulier de son antre. Plus que le plaisir d’investir son cul avec ma bite, c’est le fait de l’enculer dans son cabinet qui était terriblement excitant. Elle gémissait sans discontinuer, m’insultait à voix basse, m’incitait à y aller plus fort. Je l’ai vue porter ses doigts à son clito qu’elle s’est mise à frotter de manière désordonnée.
    
    Quand je me suis vidé dans son cul en gémissant, submergée elle aussi par la jouissance, elle a émis un long cri rauque, tous les muscles du corps tendus à l’extrême.
    
    Nous avons lentement repris notre souffle. Une forte odeur de sexe avait envahi la salle de soins.
    
    — Ton cul est délicieux à enfiler…
    — À enculer, tu veux dire ! m’a-t-elle répliqué, les cheveux en bataille. Merci du compliment pour mon derrière. Ta queue est un délice ; j’ai adoré te sentir entre mes fesses de praticienne dépravée. Ça m’a terriblement excitée de me faire enculer par un patient dans mon cabinet.
    — Cette fois-ci, je ne suis pas taché de sang.
    — Bien sûr, puisque mes règles sont dans deux semaines… !
    
    * * *
    
    J’avais décidé de ne plus la revoir ; je n’étais pas amoureux d’elle. Physiquement, ce n’était pas mon type de femme, bien qu’elle fût très belle. Mais à chaque appel, je ne pouvais résister : une envie dingue, dévastatrice de la baiser dans son cabinet, de prendre son cul prenait le dessus sur mes bonnes résolutions. Tout cela à cause de son attitude de vicieuse excitée, de femelle ne désirant qu’une chose : se faire enfiler ...