1. Ablation de grains de beauté


    Datte: 20/02/2021, Catégories: fh, médical, Collègues / Travail cérébral, noculotte, Oral fsodo, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... dans sa main, l’observant avec un air de quelqu’un qui réfléchit en fronçant les sourcils. Elle a soupiré avant de me dire :
    
    — J’adore sucer une bonne bite qui bande pour moi !
    — Profite !
    — Tu vois, moi aussi je sais sucer aussi bien que les petites salopes que tu as baisées dans ta vie.
    
    Sa décontraction vis-à-vis des choses du sexe contribuait à renforcer mon excitation. Nous nous connaissions à peine, et pourtant elle se comportait comme si nous étions amants depuis longtemps, n’hésitant pas à employer des mots grossiers.
    
    Je n’ai pas tenu longtemps ; elle faisait ce qu’il fallait pour que je jouisse vite. Je me suis répandu dans sa bouche en tirant comme un sourd sur les pointes de ses nichons.
    
    D’habitude, c’est moi qui mène le jeu avec les femmes. Avec ma dermato, c’était l’inverse : elle semblait assoiffée de sexe, utilisant la provocation avec justesse.
    
    Calmés, nous avons repris la route. Elle a voulu rester seins nus, pour entretenir mon excitation, disait-elle.
    
    * * *
    
    Dans le restaurant qu’elle avait choisi en réservant une table à mon nom, nous étions assis côte à côte devant une table ronde, sur une terrasse bien abritée.
    
    Elle m’intriguait ; tout s’était passé trop facilement, trop vite. Alors je l’ai questionnée pendant le repas, en essayant de ne pas être trop intrusif.
    
    Son mari était en séminaire dans un pays lointain. Elle avait deux fils, tous deux médecins également. Leur couple était tombé dans une routine au bout de vingt-deux ...
    ... années de vie commune, mais ils s’entendaient bien. Côté sexe, ils avaient des dérivatifs. Elle m’a expliqué que dans le domaine médical, ils vivaient des choses difficiles, parfois terribles. Alors, pour oublier les moments difficiles, il y avait de temps en temps des soirées entre eux un peu spéciales.
    
    — Je suis une femme, avec des envies de femme, et comme j’ai des envies un peu, disons… "spéciales", tu es l’homme de la situation.
    — Ah bon ; pourquoi moi ?
    — Parce que tu m’as très vite comprise. Et puis, c’est un peu de ta faute ; tu n’as pas hésité à me draguer, avec tact d’ailleurs, sans en faire trop.
    
    Je lui ai demandé si, dans le domaine du possible, elle pouvait me dire quelques mots sur ces fameuses soirées. Il s’agissait bien sûr de soirées basées sur le sexe, où tout le monde se lâchait. Je n’ai pas insisté, à part lui demander de me décrire sa tenue vestimentaire préférée pour ce genre d’activité. Elle m’a répondu, en me fixant du regard, "entièrement nue sous une robe longue fendue à l’arrière jusqu’à la raie des fesses". Puis elle a ajouté, avec un sourire malicieux : "Je crois que ça te plairait, pour infiltrer ta main très haut."
    
    J’ai tout de suite compris le message. J’ai posé la main sur son genou, glissé les doigts entre les cuisses, jusqu’à remonter très haut, là où la fente de son sexe était brûlante. Brûlante, effectivement : elle n’avait plus de culotte !
    
    — Qu’en as-tu fait ? Je ne t’ai pas vu la retirer.
    — Je l’ai retirée aux toilettes, ...
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