1. Ablation de grains de beauté


    Datte: 20/02/2021, Catégories: fh, médical, Collègues / Travail cérébral, noculotte, Oral fsodo, Auteur: P-hpassage, Source: Revebebe

    ... avant de passer à table. Tiens, cadeau, a-t-elle dit en la sortant de son sac pour me la donner.
    
    Manifestement, elle se foutait bien du regard des gens attablés sur cette terrasse. Je l’ai portée à mes narines ; le tissu était imprégné de sécrétions : elle avait dû couler dans la voiture. En chuchotant, elle m’a expliqué :
    
    — J’ai coulé en suçant ta bite. Elle sent assez fort pour toi ?
    
    Je lui ai souri en enfonçant deux doigts dans sa fente. Elle a gémi en ouvrant largement les cuisses.
    
    — Au retour, tu t’arrêteras dans un chemin ; je veux que tu me baises sur le capot, comme une salope qui ne pense qu’à se faire mettre.
    
    Je l’ai effectivement baisée sur le capot ; ou plutôt nous avons baisé, avec tendresse d’abord, puis avec férocité. Elle m’a mordu la langue quand j’ai forcé son cul avec deux doigts.
    
    * * *
    
    Nous nous sommes vus de temps en temps, uniquement pour baiser. Elle venait chez moi, vêtue ultrasexy mais toujours avec classe.
    
    Elle était belle, bien sûr, mais un peu trop mince à mon goût. Chez une femme, j’aime bien en avoir plein les mains. Mais son comportement de femelle ayant le feu au cul m’excitait toujours autant. Alors un jour je suis allé à son cabinet, à dix-neuf heures, sans la prévenir. Je n’étais pas certain qu’elle serait là, mais j’avais une telle envie de la baiser que j’ai tenté le coup. Je suis quand même venu avec une rose à la main.
    
    Dix minutes après mon arrivée, elle est sortie de son cabinet avec un patient. Elle m’a ...
    ... aperçu, est restée figée trois secondes, puis m’a demandé d’attendre deux minutes.
    
    En effet, quelques petites minutes plus tard, la porte s’est entrouverte et elle m’a appelé sans se montrer. Je suis entré en refermant derrière moi, la fleur à la main. Elle était derrière la porte, entièrement nue, avec juste des escarpins aux pieds qui lui allongeaient les jambes. Elle s’est collée contre moi, m’a tendu ses lèvres pour un long et profond baiser.
    
    — Merci pour la fleur. Tu as bien fait de venir, je suis en manque. D’ailleurs, j’ai failli t’appeler.
    — T’es pas croyable… Me recevoir entièrement nue dans ton cabinet !
    — Ça te plaît, offerte comme ça pour toi ?
    — Salope ! Tu fais toujours des trucs pour me faire bander. Sais-tu pourquoi je suis venu ?
    — Non, aucune idée. Dis-moi, a-t-elle répliqué avec un sourire mutin aux lèvres.
    — Pour te baiser sur ta table d’examen !
    — Tu ne serais pas un peu pervers par hasard ?
    — T’es gonflée ! C’est toi qui as voulu que je te prenne ici.
    
    Elle a ignoré ma réplique et a pris un air sérieux pour m’annoncer :
    
    — Tu tombes mal, j’ai mes règles.
    — Ah bon… Tu viens pourtant de me dire que tu es en manque.
    
    Elle a ri en s’échappant vers la salle de soins. Elle a ouvert un tiroir, en a extrait un tube de vaseline. Avec l’air amusé de celle qui va faire une grosse bêtise, elle a commenté :
    
    — Pour une fois, ça va servir à autre chose de bien plus agréable que d’habitude ! Puisque tu meurs d’envie de me baiser, je vais t’offrir mes ...