1. Les émois de Valériane - 3/3


    Datte: 14/02/2021, Catégories: ffh, hplusag, fplusag, champagne, couple+f, Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe

    ... sa charmante épouse et lui fait doucement comprendre qu’il n’y a pas que moi qui attende son hommage.
    
    À genoux, elle se coule entre ses jambes et saisit la verge turgide qui est sans doute la moins imposante de celles qu’il m’ait été donné de fréquenter dans ma toute récente carrière d’amante et de séductrice. Elle en est d’autant plus émouvante et le spectacle de cette colonne de chair bandée disparaissant entre les lèvres pourpres, étranglée par les doigts ivoirins aux ongles écarlates effilés comme une menace, est magnifique et délicieux, me fascine et enflamme tous mes désirs. J’hésite à me mêler à l’exercice, mais préfère les laisser seuls pour cette privauté. Me souvenant de la tentation qu’a engendrée la perception de la peau nue d’Alizée au-delà sa jarretière, je m’agenouille à mon tour, derrière elle, et passe ma main sous la cloche de sa robe. Elle comprend mes intentions et, s’appuyant d’un bras sur Fédor, relève très haut sa croupe.
    
    Progressivement, je rabats la mousseline sur ses reins, le voyage est hélas malheureusement bref, tant celle-ci est courte et je me pâme devant la perfection de ses fesses en découvrant le satin pâle et lustré au-dessus de l’échancrure du bas. Je tente de glisser des doigts sournois entre ses cuisses que d’abord elle resserre dans un réflexe de pudeur. Je n’insiste pas, mais achève de remonter le tissu sur ses hanches. Je me souviens de Georges louangeant mon cul, que dirait-il de celui-ci ? Je le parcours des caresses les plus ...
    ... raffinées avant d’y coller une bouche enthousiaste, y multipliant bisous et cajoleries. La belle se trémousse pour marquer son agrément. Je tire alors délicatement sur l’élastique de la culotte accompagnant le lent dévoilement de sa raie d’ombre des plus tendres embrassades. Elle se tortille pour faciliter l’opération et se retrouve bientôt, le linge humide roulé au niveau des genoux, tandis que je peux poursuivre mon exploration sur la peau la plus douce et remonter jusqu’à sa fragile intimité. Une exquise rosée humecte tous ces parages dont la touffeur moite me bouleverse.
    
    Il y a peu, on m’aurait dit que je lutinerais ainsi une femme de trente-cinq ans et que de surcroît j’y trouverais un plaisir inégalable, je m’en serais sans doute offusquée et maintenant ses tressaillements, ses petits cris étouffés, ses sursauts m’invitant à m’engager davantage, toute cette aimable scène me ravit alors que pourtant, je ne suis qu’aux portes du temple.
    
    Fédor qui est au seuil de l’explosion me convie d’un geste à œuvrer de concert avec son épouse. Nous nous plaçons donc de part et d’autre de ses jambes pour jouer à quatre mains et deux bouches de la flûte enchantée. Ce n’est pas simple, car des encombrements en résultent autour de l’instrument ce qui occasionne quelques fausses notes. Les concertistes aussi parfois oublient le pipeau pour en de hâtives effusions faire vibrer leurs anches réciproques, s’étreindre au-dessus de la cornemuse un instant abandonnée. Quelle stimulante et ...
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