Les émois de Valériane - 3/3
Datte: 14/02/2021,
Catégories:
ffh,
hplusag,
fplusag,
champagne,
couple+f,
Auteur: Laure Topigne, Source: Revebebe
... joyeuse cacophonie parvenons-nous ainsi à interpréter !
Notre proie tremble de tout son corps, exhale son âme en essoufflements ininterrompus ponctués de soupirs rauques tandis que son gland, sa tige, ses bourses subissent nos assauts conjoints et répétés. Fédor pose une main sur nos têtes qu’il ébouriffe d’un mouvement convulsif avant de retirer pinces et peignes qui maintiennent le chignon d’Alizée. Une vague ébène s’écoule et noie l’objet de mes concupiscences derrière son lourd rideau. Alizée se saisit d’une mèche et, armée de ces crins, reprend ainsi ses frictions sur la hampe de son époux. Lui, enfin se libère dans sa bouche puis dirige son sexe vers mon visage et crache dans une autre salve le reste de sa semence sur mon menton et mes pommettes.
Une brève embrassade soutenue par quelques coups de langue, nous permet de répartir équitablement sa bordée. Nous nous relevons face au mâle exténué, ce qui fait tomber la culotte d’Alizée, qu’elle évacue du bout de ses pieds, mais hélas aussi sa robe qui dissimule à nouveau son ravissant postérieur.
Tout essoufflé et chaviré par ses allégresses, Fédor nous murmure :
— Déshabillez-vous !
Ce n’est pas un ordre, pas même un souhait, juste une prière. Alizée veut immédiatement s’y conformer et s’apprête à déboutonner sa tenue, mais il l’arrête :
— Non, pas ainsi, faites-vous soubrette l’une de l’autre.
Nous sommes debout toutes deux face à lui, et je ressens l’exaltante brûlure de leurs regards incendiaires ...
... qui évaluent et massent mes formes. Je vais vers elle, arborant mon plus fier poitrail, le lui tendant comme un don. Butinant mes lèvres en murmurant « c’est si bon », elle s’active à défaire les nacres de mon chemisier, suivi de la ceinture de ma jupe qui, fort étroite, reste coincée sur mes hanches. Elle s’accroupit alors et tire le vêtement rebelle de façon à le faire choir sur mes chevilles. J’exhibe ainsi devant son visage les guipures noires de ma culotte et le velours hâlé de mes cuisses. Elle caresse mon sexe à travers les dentelles qui le camouflent puis, après avoir quêté mon approbation avec de grands yeux consternés, elle entreprend de m’extirper de cette prison.
D’instinct, je porte mon pénil à ses lèvres, mais elle se borne à le frôler avant de se redresser, rougissante et troublée. Ce fard qui empourpre ma splendide et mature maîtresse me comble d’aise, témoignant des émois que je lui inspire. Bien sûr, parvenir à faire rougir de confusion une belle femme comme elle n’est pas le dernier de mes délices, mais je n’en tire ni orgueil, ni vanité. Je la tourne alors vers Fédor et me plaçant dans son dos, je plaque une main sur ses seins adorables que je perçois dépourvus de tout renfort sous l’étoffe. De l’autre je remonte très haut sa robe découvrant à son époux le vison enjôleur encadré des bas noirs. J’imagine le regard passionné qu’elle doit échanger avec lui, qui maintenant se masturbe tranquillement pour retrouver sa vigueur. Elle colle son échine contre moi ...