Promenons-nous dans les bois...
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
fh,
frousses,
inconnu,
poilu(e)s,
forêt,
Oral
pénétratio,
conte,
merveilleu,
sorcelleri,
contes,
occasion,
nature,
Auteur: Morodar, Source: Revebebe
... ongles écorchent la peau de mes pectoraux. Sa respiration devient plus courte, hachée. Elle approche de l’orgasme. Moi aussi, d’ailleurs.
J’entends soudain ma compagne pousser un long hurlement de plaisir. Puis elle s’effondre sur moi, le souffle lent et le corps tremblant de satisfaction. Après un court moment de repos, elle relève les yeux vers moi, apparemment satisfaite. Elle est de toute évidence étonnée de sentir ma queue toujours en elle, dure et droite.
— Oh, je suis une vilaine fille, je ne t’ai pas fait jouir. Je dois me faire pardonner.
Elle se lève alors et je sens à regret ma verge quitter sa chair chaude. Elle se dirige vers le vieil autel, pose sa cape dessus, puis s’étend sur le dos et écarte bien les cuisses, m’offrant la vision splendide de sa vulve rosée dégoulinante de son jus intime. Elle me fait un clin d’œil coquin, puis m’envoie un baiser. Sans attendre, je me lève à mon tour et la rejoins.
— Je crois que le loup à envie d’un petit minou, dit-elle en riant.
Je m’appuie des mains sur la pierre chauffée par le soleil, et plante avec impatience mon membre au plus profond de sa chatte. Elle accueille le retour de ma tige de chair dans sa fente en poussant un long soupir d’appréciation. Cette fois, je suis bien plus agressif. Je la lime sans retenue, me montrant aussi sauvage que possible. Elle passe ses bras autour de mon cou et me mordille une oreille, me murmurant de ne pas la ménager. Je suis plus qu’heureux de la satisfaire. Pendant que ...
... je la bourre avec violence, elle se masse vigoureusement son petit bouton gonflé par le plaisir. Et se pince aussi les mamelons, me regardant droit dans les yeux.
Je n’en peux plus. Je retiens mon orgasme depuis déjà un long moment. Mais je ne veux pas venir. Pas tout de suite. Après tant d’années d’abstinence, je veux faire durer le plaisir aussi longtemps que possible. Cela ne dérange sûrement pas ma mignonne compagne.
Je m’arrête alors et sans lui demander son approbation, je la retourne, la plaquant durement à plat ventre sur la plaque de pierre. Elle lâche bien un petit cri d’étonnement, mais je me fais vite pardonner en fichant mon phallus dans sa chatte. Je la tiens par les fesses pour mieux la labourer. À chaque coup de rein, je pénètre aussi loin que je le peux, en profondeur. Je la saisis soudain par la tresse, tirant violemment sa nuque vers l’arrière à chaque coup de hanche. Être prise d’une manière aussi féroce lui plaît car elle crie d’extase maintenant, me suppliant de continuer. Elle se met alors à contracter les muscles de son vagin, massant mon membre d’une manière incroyable. Je perds alors le contrôle de mon plaisir. Mon orgasme me foudroie, intense et libérateur. Il dure un long moment. On dirait que je ne vais jamais finir de me vider.
Je parviens enfin à redevenir maître de moi et je lâche ma compagne, puis m’assois lourdement au sol, le dos appuyé contre l’autel. Elle se redresse, échevelée mais avec un magnifique sourire de satisfaction sur ...