Promenons-nous dans les bois...
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
fh,
frousses,
inconnu,
poilu(e)s,
forêt,
Oral
pénétratio,
conte,
merveilleu,
sorcelleri,
contes,
occasion,
nature,
Auteur: Morodar, Source: Revebebe
... petite main chaude, le stimule un moment avec un air fasciné. De son autre main, elle saisit mes bourses, les malaxant.
— Oh, comme tu as une grosse queue, Loup ! me dit la belle, coquine, tout en poussant un petit rire enfantin.
— C’est pour mieux te prendre, belle enfant, que je rétorque, la voix rauque d’excitation.
Interloqué, je la vois alors s’accroupir devant moi et gober ma longue verge, d’un coup. Elle se l’envoie jusqu’au fond de la gorge. Du moins, elle essaie. Vu ses dimensions, je serais vraiment étonné qu’elle arrive à toute la prendre. Elle maîtrise la succion avec un talent inouï. Où a-t-elle appris à faire une si bonne pipe ? Puis sans avertissement, elle stoppe tout, se redresse et plante son regard émeraude dans le mien. Elle défait alors les attaches de sa cape cramoisie, la laissant tomber au sol à ses pieds. Je peux alors admirer son corps de déesse à la peau de la blancheur du lait. Ses longs cheveux brun-roux sont attachés dans une longue tresse qui tombe entre ses omoplates, jusqu’au creux de ses reins.
— Maintenant Loup, montre-moi ce que tu sais faire.
Elle glisse ses bras autour de mon cou et passe ses jambes autour de ma taille. Je la soutiens par les fesses, la trouvant légère comme un chaton. Elle prend ma tige en main, la menant jusqu’à sa fente. Je l’y empale avec lenteur, savourant la chose. Oh, cette chaude humidité ! Et elle est serrée. Sans doute en raison de la taille de mon engin. Je commence à la limer, d’abord doucement, ...
... pour voir comment elle réagit. En moins de deux, elle se met à soupirer et gémir. Sa chatte devient encore plus coulante. J’accélère le tempo, la défonçant avec plus d’ardeur.
Elle a une grande endurance, la petite rouquine. Merde, mes jambes commencent à fatiguer. Je repère derrière mon épaule un arbre massif. Tout en continuant à la faire monter et descendre sur mon membre ferme, je fais quelques pas vers l’arrière, me retourne, puis appuie le dos de ma compagne contre l’écorce rugueuse du gros chêne. Ainsi, je peux la pilonner à loisir. Mes coups de reins deviennent plus rapides et brusques. Quand ma queue atteint le fond de la rouquine, elle pousse à chaque fois un long râle de satisfaction. Je fais de gros efforts pour contenir ma jouissance, je veux donner à la petite récolteuse de champignons autant de plaisir qu’elle m’en donne.
— Loup, l’écorce m’arrache la peau du dos. S’il te plaît, changeons de…
Avant qu’elle finisse sa phrase, je m’écarte de l’arbre. La gardant collée sur mon torse velu, ma queue bien fichée en elle, je m’étends sur le dos dans l’herbe grasse. Elle se met alors à faire de rapides va-et-vient sur ma verge, ses mains plaquées sur mon torse, enfonçant ma queue en elle avec une joie évidente. Je saisis ses seins pesants à pleines mains, les pétrissant avec une certaine rudesse. Elle doit aimer, car elle ferme les yeux et se lèche sensuellement les lèvres. Je pince les tétons, les étire et les maltraite un peu. Elle en grogne de plaisir. Ses ...