Promenons-nous dans les bois...
Datte: 05/02/2021,
Catégories:
fh,
frousses,
inconnu,
poilu(e)s,
forêt,
Oral
pénétratio,
conte,
merveilleu,
sorcelleri,
contes,
occasion,
nature,
Auteur: Morodar, Source: Revebebe
... en vadrouille près de l’orée de la forêt. Je décide alors de me dévoiler. Avec lenteur, j’entre dans la clairière. Aussitôt, la belle s’immobilise et se tourne vers moi, de toute évidence surprise par mon apparence. Mais elle n’a pas peur. Ses superbes yeux verts pétillent même de curiosité. Je continue à m’avancer, jusqu’à me trouver à moins d’un pas d’elle. Malgré mon apparence terrifiante, elle reste droite et fière devant moi, ce qui n’est pas un mince exploit. Un profond silence s’est soudain abattu sur le bois. Nous nous détaillons un long moment. Sous son capuchon écarlate, je peux voir un doux visage, lisse et remarquablement pâle. Elle a de grands yeux fascinants, une bouche aux lèvres charnues et un petit nez mutin. Elle porte une chaîne d’argent à son cou gracile, et un anneau cuivré perce le lobe de son oreille gauche.
Elle me paraît impressionnée. Elle admire ma carrure d’ogre. Son regard glisse le long de mon torse large, de mon ventre musclé, puis finalement entre mes jambes. Pour la première fois depuis des années, je ressens de la gêne et de l’embarras. Ma nudité ne semble pourtant nullement la choquer. Ses yeux brillent étrangement. Comme si elle me trouvait… séduisant ? Non, c’est absurde.
— Tu es Loup, le gardien de la forêt ? me demande-t-elle d’une voix timide.
— Oui, belle enfant. Tu es ici sur mes terres.
— Comme tu as de grands yeux, dorés et mystérieux !
— C’est pour mieux te regarder, mignonne petite chose.
— Tu es différent de ce que ...
... j’avais imaginé, rétorqua la belle fille, apparemment rassurée par ma voix calme. Dans les récits, tu ressembles plus à une bête qu’à un homme. Un grand homme poilu, mais un homme, c’est certain.
Elle fait alors un pas vers moi, se retrouvant si proche que nos corps se touchent presque. Elle tend alors la main pour caresser ma courte fourrure argentée. Sa main joue dans les poils de ma poitrine et de mon ventre. Sa cape s’entrouvre alors, et je constate avec stupéfaction qu’elle est nue en dessous ! À part des mocassins de peau, elle ne porte pas le moindre vêtement. Confus, je ne parviens pas à détourner mon regard de ses seins lourds, ronds et légèrement tombants. Elle a des tétons rose foncé, dressés comme s’ils voulaient m’inviter à les toucher. Finalement, mes yeux descendent encore plus bas, jusqu’à sa vulve toute mignonne, parfaitement rasée, ce qui me surprend.
Depuis que cette abominable sorcière m’avait transformé en un hybride mi-homme, mi-loup, je n’avais plus approché aucune femme, honteux de mon allure monstrueuse. Et voilà qu’une parfaite inconnue, presque nue, vient titiller ma libido. Dieux, cette fille est en train de me rendre fou. L’eau me monte à la bouche, juste à la regarder. Et son parfum si entêtant m’enflamme le sang. J’ai vraiment envie de la prendre. Avec gêne, je constate que mon phallus se dresse lentement. Elle cesse alors de caresser la fourrure de mon ventre et sa main descend jusqu’à mon sexe, déjà fièrement dressé. Elle le prend dans sa ...