Ma tante et moi (1)
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
ff,
oncletante,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
fgode,
nopéné,
init,
confession,
tante,
Auteur: Isa Belle, Source: Revebebe
... caressait l’intérieur de ma cuisse et remontait vers mon sexe. Déjà j’imaginais le vibrateur bientôt logé à l’entrée de mon vagin, quand j’entendis soudain la porte extérieure claquer. Ma tante rentrait !
Que faire ? Je restai totalement pétrifiée. J’entendis les pas de ma tante qui allait au salon puis, rapidement, venait vers ma chambre. Vraiment, que faire ? J’étais comme paralysée. Jamais je n’aurais le temps de dissimuler mon vice ! J’avais atrocement peur d’être découverte et, en même temps, la situation me troublait à l’extrême. Je n’entendais plus que les pas qui approchaient et le ronronnement du vibrateur. D’un geste rapide et désespéré, je portai la pointe du vibrateur sur mon sexe : tant qu’à paraître obscène, autant l’être sans réserve. La tête vibrante reposait sur le voile de mon string qu’elle collait à la fente suintante de mon sexe. « Qu’allait-elle penser ? Qu’allait-elle dire ? Qu’allait-elle faire ? » Le sang me battait aux tempes…
Ma tante entra, mais je me gardai de la regarder. Manifestement, elle s’était arrêtée. J’avais tourné la tête vers le mur, par crainte d’apercevoir une attitude réprobatrice de sa part. Un silence total régnait dans la chambre, uniquement ponctué par le ronronnement du vibrateur. Christine restait muette, mais elle ne quittait pas les lieux. Elle devait donc me regarder : vautrée sur le lit, les seins à peine voilés par le body transparent, la taille prise dans le corset noir, la jupette retroussée, les cuisses ...
... écartées et ce vibrateur maintenu sur mon sexe… Quelle indécence ! Si ma tante venait à me faire le moindre reproche, la moindre critique, je crois que j’en mourrais.
Mais le silence persistait. Il me parut de bon augure. Je tremblais d’excitation à l’idée qu’elle pouvait être complice. Mue par une irrépressible envie de sexe, j’écartai mon string de la main gauche et déposai le vibrateur sur mon clitoris, sur lequel j’entrepris de le faire tourner lentement. Un feu merveilleux me parcourut le bas-ventre. J’agrandis les mouvements du vibrateur, le promenant entre les lèvres de mon sexe, de plus en plus ouvertes. Mes hanches se mirent à bouger malgré moi. Folle de luxure, je tournai enfin la tête vers ma tante. Elle était là, debout, immobile, encore vêtue de son imperméable, qui me regardait fixement. Son visage était très coloré, mais il n’exprimait pas de mécontentement.
Je voulus savoir. J’avais la gorge totalement nouée et pourtant je voulais dire quelque chose, la forcer elle-même à parler. D’une voix très rauque et mal assurée, je murmurai :
— Tu… tu vois ?
Elle ne répondit pas.
— Hooo ! … C’est bon… fis-je.
— Oui, je vois, enchaîna-t-elle alors immédiatement, d’une voix très faible.
J’espérais qu’elle s’approcherait, mais elle n’en fit rien.
À présent, la tête du vibrateur glissait à l’entrée de mon vagin où je la poussai quelque peu. Tout mon bassin s’agitait d’un mouvement non équivoque. Je tournai à nouveau la tête vers le mur, tant je voulais ...