Ma tante et moi (1)
Datte: 02/05/2018,
Catégories:
ff,
oncletante,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Masturbation
fgode,
nopéné,
init,
confession,
tante,
Auteur: Isa Belle, Source: Revebebe
... perche que je venais de lui tendre. Il me sembla qu’une éternité s’écoulait. Puis, éclatant d’un rire bref et un peu forcé, ma tante s’écria :
— Allons ! Nous voilà à présent renseignées avec franchise sur ce qui ne nous déplaît pas. C’est mieux ainsi.
Et se levant précipitamment, elle ajouta :
— Je vais me changer pour préparer le souper : je ferai mes comptes plus tard.
Et elle sortit. J’admirai sa croupe, délicieusement mise en valeur par le body noir, avant qu’elle ne disparaisse. Manifestement, je ne pouvais pas espérer davantage ce jour-là. Je revins lentement devant l’ordinateur pour puiser dans les images d’Hilda le surplus de volupté auquel j’aspirais. Mais j’avais trop usé déjà de ces images et elles ne me faisaient plus autant d’effet. Pourtant, j’étais brûlante. Je retournai sur le lit et en fermant les yeux, je revis ma tante et je revécus nos audaces et nos émois. Ma main glissa sous le voile de mon corsage pour agacer mon mamelon…
Trois jours plus tard, alors que nos relations s’étaient en quelque sorte normalisées, sans plus trop de gêne, mais sans plus d’audace non plus, je m’avisai qu’il serait intéressant que je jette un coup d’œil dans la cachette où ma tante avait dissimulé les déguisements. Profitant de son absence, je fouillai la petite armoire du vestibule et j’y découvris effectivement nos vêtements coquins. Mais la découverte ne s’arrêta pas là. Du même endroit, je sortis deux objets que je ne m’attendais pas du tout à y trouver : une ...
... cassette vidéo manifestement fort ancienne et un petit vibrateur de poche.
Pour visionner la vidéo, il aurait fallu que je rebranche l’ancien lecteur de cassette aujourd’hui laissé dans un coin du salon et remplacé par un lecteur de CD. Mais le vibrateur, rien ne m’empêchait de le tester. Un petit tour imprimé à sa base me permit de constater que la pile était en ordre de marche.
L’excitation me gagna brutalement. Ce n’était pas tant l’idée de titiller mes zones sensibles qui me troublait : c’était de me dire que j’allais promener sur moi cet objet dont ma tante s’était servie. Je reniflai la petite tête munie de trois clous dorés, mais je n’y trouvai aucun parfum. Je ne pus néanmoins m’empêcher d’y passer la langue et, faisant ce geste, de sentir une vague de plaisir me parcourir le bas ventre. La tête me tourna et un besoin impérieux de luxure monta en moi. J’attrapai la tenue de bonne et je me précipitai dans ma chambre pour la mettre. J’étais presque aussi émue que le jour où je l’avais mise pour ma tante. Je me complus longtemps devant le miroir, de face, de dos, de profil, lorgnant sur mes chairs intimes, voilées ou dévoilées. Je mouillais et mes tempes battaient rien qu’au souvenir de la même exhibition offerte à Christine. Je me laissai aller sur le lit et, l’ayant mis en marche, je glissai la tête de vibrateur sur ma joue, puis sur ma bouche, puis dans mon cou… Il fut bientôt sur mon sein, agaçant le mamelon au travers du voile. Pendant ce temps, ma main gauche ...