1. Ma tante et moi (1)


    Datte: 02/05/2018, Catégories: ff, oncletante, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation fgode, nopéné, init, confession, tante, Auteur: Isa Belle, Source: Revebebe

    J’ai trente-huit ans et je vis avec ma tante, Christine, qui a trois ans de plus que moi. Après la perte d’un conjoint aimé, je suis longtemps restée sans relation. Puis, progressivement, je me suis sentie attirée par les femmes, sans oser cependant franchir le pas. Seules quelques caresses très furtives avec des inconnues m’ont confirmée dans mon goût.
    
    Ayant correspondu sur Internet avec un inconnu dont les fantasmes m’excitaient et à qui j’avais quelque peu décrit ma situation, j’ai eu la surprise de voir celui-ci m’interroger sur ma tante et sur l’attrait éventuel qu’elle pouvait exercer sur moi. Et je dois bien avouer que je me mis alors à regarder Christine avec d’autres yeux. Ce qui déclencha bien des choses…
    
    Un jour que j’étais à la recherche d’émotion, je me suis une fois de plus reproché de n’oser quoi que ce soit avec ma tante. Aussi, prenant mon courage à deux mains, je mis en œuvre un plan que je mijotais depuis longtemps. Ayant vu sur Internet des ventes de déguisements sexys, j’en commandai deux pour elle avec un petit mot ainsi libellé :
    
    « Pour une femme qui serait si belle ainsi vêtue, de la part d’une femme si proche et pourtant si lointaine encore… »
    
    Pour juger de mon audace, il faut avoir une bonne idée des déguisements en cause. Il s’agissait du body « Transparence » et du costume « Soubrette céleste », tels qu’on les trouve sur le site Internet SexyAvenue.com. Comment te décrire mon émotion lorsqu’il fallu cliquer sur la commande, rendant ...
    ... l’opération irréversible ? Je tremblais de peur et, en même temps, je mouillais ma culotte.
    
    Et puis il y eut l’attente. Ai-je besoin de te dire que je guettais le courrier ? Les jours passaient et j’oscillais sans cesse entre regrets et impatience, entre peur et excitation. Habituellement, c’est moi qui vide la boîte aux lettres. Mais lorsqu’une bonne semaine après la commande, j’y vis un paquet anonyme adressé à Christine, je m’arrangeai pour être distraite de ma tâche habituelle, de telle sorte que ce soit elle qui découvre le paquet dans la boîte aux lettres.
    
    J’ignorais totalement comment les choses allaient tourner. Premier jour : rien ! Deuxième jour : rien ! Quand je dis rien, ce n’est pas tout à fait exact. Ma tante me semblait différente, nerveuse, distraite ; mais je me faisais peut-être des illusions. Le troisième jour, n’y tenant plus, j’ai profité de son absence pour faire une fouille. Je voulais retrouver les déguisements, ne fût-ce que pour m’assurer qu’elle avait bien déballé le paquet. Or, je ne trouvai rien, ni dans ses armoires, ni dans les rangements les plus improbables.
    
    J’étais prête à douter de tout, mais le soir même, les choses se précisèrent. Nous étions en train de dîner lorsqu’elle me demanda, d’un ton exagérément détaché :
    
    — Tu ne m’as pas fait une blague, ces temps-ci ?
    
    Je fus très surprise. Curieux me diras-tu, puisque je vivais dans l’attente d’une réaction de sa part. Pourtant, je ne me sentis en rien préparée à cette question. Et je ...
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