1. Ma tante et moi (1)


    Datte: 02/05/2018, Catégories: ff, oncletante, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation fgode, nopéné, init, confession, tante, Auteur: Isa Belle, Source: Revebebe

    ... cachés par le voile transparent du corsage. Quant à mes cuisses, entièrement offertes aux regards, on ne pouvait s’en distraire que par la vue du buisson sombre que les deux voiles, celui de la robe (si l’on peut appeler robe un vêtement aussi court) et celui du string, n’arrivaient pas à masquer. Était-ce l’excitation ? Toujours est-il que je me trouvai très sexy. Mon trouble s’accrut.
    
    « Où vais-je me mettre pour qu’elle me voie à mon avantage ? », me demandai-je. Je m’assis sur le bord du lit, le cœur battant. Et j’attendis. « Que faisait-elle ? Pourquoi tardait-elle ? » Je m’impatientais. Regardant mes cuisses, je les trouvai très appétissantes. « Et si j’adoptais une pose plus osée ? » me dis-je.
    
    Je glissai la main sous la jupette et la posai sur le string, à la place du sexe. Une légère pression et je ressentis une vague délicieuse me traverser le ventre. Le voile du string se coinça légèrement entre les lèvres de mon sexe que l’excitation avait mouillées. « Oh ! je suis trempée. Et si elle s’en aperçoit ? »
    
    Des pas retentirent : elle arrivait. D’’un geste brusque, je retirai ma main et rabattis la jupette de voile. Si bien que lorsque ma tante entra, j’avais très certainement un air des plus coupables. Elle, par contre, c’était la classe.
    
    Le body noir mettait en valeur un corps dont j’avais certainement sous-estimé les charmes.
    
    — Voilà ! fit-elle en déambulant lentement devant moi, jouant un peu au mannequin.
    
    Elle avait les joues roses et l’œil ...
    ... brillant, mais elle souriait de façon assez naturelle. Quel changement ! Jamais je ne l’aurais crue capable d’un semblable comportement.
    
    — Nous voici déguisées comme pour une soirée friponne, lança-t-elle gaiement.
    
    J’eus peur qu’elle ne se mette à rire et à tourner la situation en plaisanterie, ce qui risquait fort d’affaiblir son côté érotique. Cette fois, je jouai de mon émoi et, sans rien cacher de mes rougeurs et de mes tremblements, je lui dis :
    
    — Ce que… ce que tu… tu es… belle.
    
    Elle s’arrêta, me regarda, hésita, puis murmura :
    
    — Toi aussi, tu es très belle… et très… affriolante, ainsi.
    
    Puis, après un court silence, et tout en s’asseyant sur le lit à côté de moi :
    
    — Marche un peu que je me rende mieux compte.
    
    Je me levai et déambulai lentement à mon tour sous son regard. Avais-je l’air ridicule avec mon petit bonnet ? Je n’y pensais même pas. J’étais surtout préoccupée par mon string, toujours un peu coincé entre mes lèvres. Allait-elle s’en rendre compte ? Oh qu’importe, après tout. Dominant mes peurs, je vins m’arrêter devant elle et, choisissant le ton le plus sérieux possible, je murmurai :
    
    — Y a-t-il quelque chose pour le service de Madame ?
    — Mmmm… fit-elle, je vais y réfléchir…
    
    Je la regardais intensément, droit dans les yeux. Mais je devais faire un effort considérable, tant la situation me paraissait gênante. Elle-même, rouge de confusion, devait faire un effort du même ordre. Oserait-elle franchir un pas supplémentaire et saisir la ...
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