Une rencontre singulière - Histoires de Sexe

Une rencontre singulière

... Oui, Maîtresse.

Adélaïde enlève la serviette, puis s’installe sur le canapé. Elle m’ordonne de me mettre à genoux, puis de lui embrasser les pieds. Elle croise les jambes puis me donne l’ordre de lécher ses orteils. Mon excitation est à son comble. Je m’exécute, toujours à genoux, mon sexe fièrement dressé.

— Tu aimes bien servir ta Maîtresse ? me demande-t-elle.
— Oui, Maîtresse. J’aime beaucoup vous servir ; je vous appartiens.
— Très bien. Je vais t’apprendre un nouveau truc. Mets-toi en position de soumission : tu me tournes le dos, à genoux, les jambes bien écartées, les bras à plat sur le sol et ta tête touchant presque à terre. Cette position permet d’exhiber toute ton intimité, comme une offrande à ta Maîtresse.
— Oui, Maîtresse.

Je me retourne et je mets dans la position indiquée. J’imagine alors aisément le tableau que je dois lui offrir, les fesses écartées, l’anus et les couilles bien visibles. Adélaïde me caresse alors les couilles et les presse légèrement dans la paume de sa main.

— À chaque fois que je prononcerai le mot « récompense », lorsque tu te seras bien comporté et que tu auras accepté sans broncher les humiliations que je t’inflige, tu accourras vers moi et tu te mettras immédiatement en position de soumission pour recevoir une caresse. C’est bien compris ?
— Oui, Maîtresse. Merci, Maîtresse.
— C’est bien, me dit-elle en me prodiguant une nouvelle caresse. Maintenant, tu vas venir recevoir ta punition.
— Ma punition ? Mais qu’ai-je ...

... fait, Maîtresse ?
— Jusqu’ici, rien de mal. Mais comme tu me poses la question, tu la mérites. Sur le canapé, à plat-ventre sur moi, tes fesses à ma hauteur ! Vite !

Apeuré, je lui obéis et je me place comme elle me l’a ordonné. Ma tête touche le bord inférieur de l’accoudoir gauche. Je la sens me caresser doucement les fesses du plat de sa main droite.

— Qu’est-ce qu’on dit à sa Maîtresse quand on vient de recevoir un ordre ? interroge-t-elle.
— Pardon, Maîtresse ! Oui, Maîtresse ! je m’écrie dans un seul souffle.

Et le coup part, brutal, sur la fesse droite.

— Qu’est-ce qu’on dit quand on reçoit une fessée de sa Maîtresse ?
— Je ne sais pas, je ne sais pas ! Pitié, Maîtresse ! je crie tandis qu’Adélaïde m’assène une deuxième, puis une troisième fessée.
— On dit « Merci, Maîtresse. » dit-elle en pétrissant mon cul.

Et puis vient un quatrième coup : « Merci, Maîtresse. » Un cinquième : « Merci, Maîtresse. » Puis je perds le compte, le rythme de la fessée devient lancinant. Puis elle s’arrête et m’ordonne de descendre du canapé. Je rampe à ses pieds sans même qu’elle me l’ait demandé puis j’embrasse ses pieds avec ferveur en criant « Merci, Maîtresse ! Merci, Maîtresse ! » Je me sens totalement subjugué.

— Maintenant, j’ai envie de jouer à la balle. Tu veux jouer avec moi ? fait-elle d’un ton badin tout en me souriant.
— Il en sera selon ce que vous ordonnerez, Maîtresse, lui réponds-je.
— C’est très bien. N’hésite jamais à me faire des réponses pleines ...