Une rencontre singulière - Histoires de Sexe

Une rencontre singulière

... d’humilité fervente et de respect, me dit-elle. Récompense !

Aussitôt, je me retourne et je me mets en position de soumission, les fesses bien en l’air et bien écartées. Adélaïde me donne une brève caresse sur les couilles. Je la remercie dûment.

— Ma Maîtresse est trop bonne. Puis-je encore vous embrasser les pieds, Maîtresse ?

Elle me répond par l’affirmative, j’embrasse ses pieds avec dévotion, prosterné devant elle. Elle me caresse les cheveux avec douceur.

— Mon gentil petit esclave, fait-elle d’un ton caressant. Mon gentil et obéissant petit esclave.

Puis elle se lève et part chercher quelque chose dans l’armoire qui jouxte la porte d’entrée. Elle revient avec une petite balle bleue en caoutchouc dont un des côtés est légèrement aplati.

— Alors, ce que je vais faire, c’est te lancer la balle et tu iras la chercher en courant à quatre pattes, explique-t-elle. Tu me la ramèneras au pied. Si tu ne vas pas assez vite à mon goût, tu auras la fessée. Pour ta gouverne, sache que normalement ce jeu se pratique avec au moins deux filles qui s’amusent avec un esclave. L’une lance la balle et l’autre poursuit l’esclave en le tapant sur les fesses avec une badine pour le faire avancer plus vite. C’est amusant, n’est-ce pas ? Mais là, nous ferons avec les moyens du bord. En tout cas, je veux que tu coures après la balle le plus vite possible en gardant les genoux bien écartés. Une Maîtresse n’adore rien tant que de voir la belle danse des couilles de son esclave ...

... quand il court après la balle. Surtout que la beauté des tiennes est maintenant rehaussée par l’épilation ; elles sont magnifiques, à croquer. Tu as compris ?
— Oui, Maîtresse.
— Alors, va !

Puis simultanément, elle lance la balle de sa main droite à travers la pièce tandis qu’elle me tape les fesses de la main gauche. Je pars à quatre pattes à la recherche de la balle tout en tâchant de maintenir les fesses bien écartées. J’attrape la balle, qui est partie à l’autre bout du séjour, je la prends entre mes dents, puis je la dépose aux pieds de ma Maîtresse adorée. Je lui embrasse les orteils.

— Récompense !

Je me retourne aussitôt, je tends mes fesses en position de soumission comme elle me l’a appris et je reçois la délicieuse caresse qu’elle m’offre tout en me complimentant du beau spectacle que je lui ai offert avec mes belles fesses qui se dandinent et mes couilles qui virevoltent à chaque pas. Elle relance la balle mais celle-ci rebondit sur un mur puis part dans l’autre sens, de l’autre côté de la pièce. Je perds du temps à la chercher. Du coup, Adélaïde n’est pas contente de mon retard. Je me retrouve à plat-ventre sur ses genoux et je crie « Merci, Maîtresse. » une bonne demi-douzaine de fois tout en me demandant en mon for intérieur si ce n’est pas en soi une récompense que de recevoir des fessées de ma Maîtresse vénérée. Je me prosterne à ses pieds pour la remercier comme il se doit.

Nous faisons encore quelques passes, les unes méritant la caresse, ...