Une rencontre singulière - Histoires de Sexe

Une rencontre singulière

... légèrement écartées.

J’obtempère et j’écarte les jambes. Et là, je reçois un coup sec du revers de la main sur la fesse droite.

— Quand je donne un ordre, on répond « Oui, Maîtresse ». C’est compris ?

Je baisse les yeux et je réponds :

— Oui, Maîtresse.
— Les mains sur la grande table et penche-toi. Immédiatement !
— Oui, Maîtresse.

Alors que je me penche, elle prend mes fesses dans ses deux mains, puis les écarte.

— Toutes les fois que tu te présenteras nu devant moi pour me servir, tu feras l’objet d’une inspection. C’est clair ?
— Oui, Maîtresse.

Je sens qu’elle m’examine attentivement. Puis elle me questionne :

— T’es-tu déjà fait sodomiser ?
— Non, Maîtresse.
— Tu aimes exhiber ton petit trou devant moi ?
— Oui, Maîtresse
— Mon pauvre petit, tu auras bien des occasions de t’exhiber ainsi et dans bien d’autres positions encore plus humiliantes. Tu es désormais mon esclave.
— Oui, Maîtresse.
— Très bien. Redresse-toi et fais-moi face.

Je m’exécute. Elle se penche sur mon entrejambe, puis soulève mes couilles de sa main droite. Puis elle touche mon sexe.

— Très bien. À genoux.

Je plonge à ses pieds en disant « Oui, Maîtresse. » Puis elle m’ordonne d’enlever ses chaussures, ses chaussettes. Et elle me donne l’ordre d’embrasser ses pieds. À chaque ordre, je couine un rapide « Oui, Maîtresse. » avant de m’exécuter.

— Très bien. Maintenant, tu restes à genoux. Je vais t’expliquer. À chacun de mes ordres, tu répondras « Oui, ...

... Maîtresse. » ou « À vos ordres, Maîtresse. » C’est compris ?
— Oui, Maîtresse.
— Désormais, quand nous serons en séance, le vouvoiement est de rigueur quand tu es autorisé à m’adresser la parole. À part lorsque tu m’apporteras quelque chose que je t’aurais demandé, tous les déplacements seront effectués à quatre pattes, les jambes bien écartées pour que je voie tes jolies couilles se balancer au rythme de ta démarche. Un esclave est toujours fier de montrer ses belles couilles à sa Maîtresse. C’est clair ?
— Oui, Maîtresse.
— J’arrive tout de suite. Reste là, comme tu es.

Elle part dans sa chambre puis en revient quelques instants plus tard avec une grande serviette blanche, un rasoir et un atomiseur de mousse à raser.

— À quatre pattes vers le canapé, me dit-elle tout en posant la serviette blanche sur celui-ci. Tu t’allonges sur le dos, les jambes bien écartées. Tout esclave doit avoir le sexe entièrement rasé.
— Oui, Maîtresse.

Je m’allonge tandis qu’elle ramène un grand bol d’eau chaude qu’elle pose sur la table basse. Avec une paire de ciseaux, elle commence à couper mes poils à ras, puis elle couvre mon bassin d’eau chaude et de mousse. Elle prend le rasoir et m’épile doucement les couilles puis le dessus du bassin, juste en dessous du ventre. Ensuite, elle me rince abondamment, me sèche avec un coin de la serviette, puis elle me passe une pommade hydratante sur les couilles.

— Descends du canapé et mets-toi à quatre pattes, m’enjoint-elle d’un ton froid.
— ...