1. Une rencontre singulière


    Datte: 02/05/2018, Catégories: fh, jeunes, hépilé, fépilée, hsoumis, fdomine, cérébral, pied, rasage, Oral nopéné, hdanus, hgode, sm, fouetfesse, init, hsoumisaf, Auteur: Anacréon, Source: Revebebe

    ... jetons, voilà tout.
    — Bon, si tu veux, on change de sujet, d’accord ?
    — D’accord mais je voudrais juste te poser une question.
    — Oui ? Vas-y.
    — Est-ce que la nudité a un rôle à jouer dans ça ?
    — Dans quoi ?
    — Ben dans les trucs SM et tout !
    — Ah ! s’exclame-t-elle. Bonne question ! Oui, ça a même un rôle très important. Pourquoi tu me poses cette question-là ?
    — Ben en fait si tu veux, quand j’avais 14-15 ans, j’avais un fantasme récurrent…
    — Oui ?
    — J’ai honte de te le dire…
    — Vas-y, Paul. Pas de soucis. On est entre nous, me dit-elle.
    
    Je ferme les yeux, je me lance à l’eau ; je n’avais pas du tout prévu que les choses allaient prendre une telle tournure mais soit.
    
    — Voilà… en fait, j’étais… et je suis toujours passionné d’histoire de l’Égypte ancienne…
    — Oui. Et donc ?
    
    Je m’étrangle avec mes mots, j’ai honte.
    
    — Et donc, en fait, je me rêvais en tant qu’esclave d’une jeune princesse égyptienne dans son palais. Je n’étais pas le seul mais j’étais son favori. Donc, au lieu d’être habillé en pagne et de travailler avec les autres dans les champs, j’étais obligé d’aller nu et de la servir dans ses appartements. Elle me faisait m’agenouiller devant elle et la servir. Parfois, dans certains de mes rêves, elle organisait des réceptions avec ses amies et je leur servais à boire tout nu, puis je m’allongeais à ses pieds, je lui embrassais les pieds et elle me faisait embrasser les pieds de toutes ses amies.
    
    Adélaïde me regarde droit dans les yeux. Elle ...
    ... semble fascinée.
    
    — Tu n’as pas à avoir honte, me dit-elle. Je pense que tu dois être fait pour ça.
    — Mais alors, ça signifie quoi, la nudité ? lui demandai-je.
    — Cela signifie que celui qui est nu est le soumis, l’esclave, et celui qui domine est habillé.
    — D’accord. Et tu m’as dit que tu étais un bon professeur ?
    — Un très bon, acquiesce Adélaïde. Tu viens de recevoir la leçon numéro 1.
    — Et la leçon numéro 2 ?
    — À toi de voir.
    — M’acceptes-tu comme élève ?
    — Encore une fois, à toi de voir. Qu’est-ce que tu as envie de faire ?
    — Me déshabiller et faire ce que tu me dis.
    — Alors, vas-y.
    
    Je me lève du canapé et je commence à enlever mes chaussures et mes chaussettes, tout en lançant à Adélaïde un regard de défi qui ne devait sans doute pas tromper grand monde.
    
    — Mets tes habits sur cette chaise, m’enjoint-elle en m’indiquant une chaise située contre le mur de l’appartement.
    
    J’enlève mon pull, ma chemise, puis mon jean. Je les pose sur la chaise indiquée. Heureusement qu’il fait chaud dans l’appartement d’Adélaïde. Les vapeurs du joint me montent à la tête. Je reste en caleçon devant elle.
    
    — Ce serait dommage de s’arrêter en si bon chemin, fait-elle remarquer. Tu veux continuer ?
    — Oui, je lui réponds d’une voix faible, à peine audible.
    
    Puis, après quelques instants d’hésitation, évitant son regard, j’enlève mon caleçon et me retrouve entièrement nu devant Adélaïde.
    
    Elle se lève, puis se place devant moi.
    
    — Reste comme ça devant moi, les jambes ...
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