1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... semblant de l'ignorer et de ne pas faire de scandale. Si je faisais une scène, ça voudrait dire que je perdrais la face et Reika aussi par association. Je laissais donc la main anonyme me peloter le derrière.
    
    Je me sentais dégoûtée et je ne pouvais même pas dire quel homme qui m'entourait était le coupable. Ne rencontrant aucune résistance, la main baladeuse bougea plus avant et me massa la chatte à travers ma jupe. Je me sentis rougir comme une pivoine et, humiliée, je pleurais à chaudes larmes. Heureusement on arriva bientôt au bout du trajet.
    
    « Ça arrive souvent? j'étais choquée et pleurais encore un peu.
    
    — Quelquefois, dis Reika en haussant les épaules. Peut-être que ça t'arrivera plus souvent qu'aux autres, puisque tu es une étrangère. Ne fais rien. Si tu dis quelque chose, tu auras l'air stupide. Et il n'y a pas tant d'hommes que ça qui le font. »
    
    Au bureau je remplissais toutes les formalités avant de rejoindre l'équipe. Ici le groupe des transactions des matières premières occupait un étage entier du grand bâtiment de la société mère. Mon petit bureau était sur un des côtés avec une vue sur la route principale, mais, au moins, il n'était qu'à moi. Il devait y avoir 50 employés sur ce simple étage. Que des hommes et que des Japonais. Le bruit de fond provenant de la salle des traders était différent aussi : pas aussi bruyant, mais très ferme et s'en dégageait encore plus arrogance qu'à New York, ce que je ne pensais pas pouvoir être possible. Tout ...
    ... autour de la grande salle il y avait les bureaux de la douzaine de directeurs, la plupart avaient une assistante personnelle. Toutes les assistantes étaient des femmes et elles étaient impeccablement habillées. Alors qu'il y avait des hommes de tout âge, les femmes avaient toutes entre vingt et quarante ans, même si c'était une estimation difficile à faire, les Japonaises me semblaient toutes faire plus jeunes que leur âge.
    
    On me présenta à tout le monde mais je ne retins que quelques noms. Je fus bientôt installée et prête à me mettre au travail. Si ce n'est que je devais tout rédiger en japonais, il n'y avait autrement rien de bien différent de ce que je faisais à New York. Le temps passa très vite et je fus surprise quand Reika vint me voir pour me ramener à la maison.
    
    Durant cette première semaine, je fus encore pelotée deux fois dans le métro. La première fois je parvins simplement à contenir mes larmes. La seconde fois je n'étais même plus choquée. Et quand l'homme m'écarta légèrement les jambes, je ne résistais pas. Avec la jupe que je portais, je ne pouvais de toute façon pas beaucoup les écarter.
    
    J'eus un petit frisson quand sa main me comprima les fesses, puis il fit le tour pour caresser mon mont de vénus. J'en parlais à Reika, elle me dit qu'elle n'avait été pressée qu'une fois cette semaine et très légèrement. Ça devait être dû au fait que j'étais une non-Japonaise.
    
    Le lundi suivant je commençais à me dire qu'il ne devait y avoir qu'un seul homme qui me ...
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