1. La Gobeuse


    Datte: 20/01/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byVictorlepieux, Source: Literotica

    ... moins je pus boire une grande coupe de saké ce qui m'aida à me débarrasser d'un peu du goût du sperme et me mis l'estomac en feu. Estomac où je n'arrêtais pas d'imaginer le sperme de tous ces hommes y flotter.
    
    M. Takashita nous appela un taxi pour Reika et moi. Je me sentais à peine capable de parler, je nageais en plein désespoir et pleurais faiblement.
    
    « Que... qu'est-ce qu'une gobeuse? » parvins-je à articuler, chuchotant pour que le chauffeur ne puisse pas entendre. « Et qu'est-ce que "gokkun" veut dire? » (je savais que ça voulait dire "avaler" en japonais, mais ce n'était pas le sens que lui avait donné mon patron.)
    
    Reika rit comme une petite fille qui entend des gros mots : « Une gobeuse, c'est une femme qui aime le sperme. Et gokkun, c'est quand elle boit le sperme.
    
    — Mais je n'aime pas ça! pleurnichais-je
    
    — Mais tu as bu le verre, me fit remarquer Reika, et ça n'avait pas l'air bien dur pour toi.
    
    — C'était horrible, je me sens malade. » Mais je ne le fus pas, mon corps m'avait trahi.
    
    *****
    
    Le jour suivant, au bureau, les choses se passèrent comme si rien n'était arrivé. Personne ne m'en toucha un mot, rien n'avait changé. Bien sûr, je me fis baiser lors du déjeuner, mais c'était devenu une routine, tout comme les courses que je ferais avec Reika pour dépenser l'argent bonus. Mon patron m'appelait de nouveau Mademoiselle Tailor, et les assistantes ne semblaient pas spécialement désirer de parler de la soirée d'hier. Vraiment, ces gens savaient ...
    ... compartimenter leur vie. Je me demandais quand allait diminuer la quantité d'hommes qui me demandait des repas-baise, d'après mes estimations au doigt mouillé ce ne serait pas au mieux avant trois mois. Trois très longs mois. J'aurais voulu pouvoir prendre un repas avec Reika et déguster une soupe aux nouilles plutôt qu'une bite d'homme dans la bouche.
    
    *****
    
    La semaine suivante, Reika m'informa que dorénavant les jeudis soir seraient réservés pour les sorties avec l'équipe. Je frissonnais ; je ne voulais vraiment plus avoir à boire du sperme. Toutefois, on m'accorda comme concession l'autorisation de décliner toutes les invitations pour déjeuner ces jours-là. (Eh oui - je pus aller prendre ma soupe aux nouilles).
    
    C'était le même groupe que je retrouvais ce jeudi, pour aller au même club. La nourriture était différente mais bonne et, comme la dernière fois les femmes n'en mangèrent que très peu. Nous étions surtout là à faire potiche et à bavarder pendant que les hommes mangeaient et buvaient à satiété. Puis Monsieur Takashita donna le signal. J'avais craint que les événements de la semaine précédente se reproduisent, et je redoutais ce moment. Mais ils avaient visiblement dû se mettre d'accord sur une variation. Chaque assistante glissa au sol et débraguetta le pantalon de leur patron, puis elles commencèrent à lui donner une lente branlette. Je m'assis, regardais et attendais. Alors, sur un signe de la main de mon patron, une des serveuses me mit un verre neuf dans ...
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