Un été nu chez ma tante
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Hardcore,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... jambes écartés, et elle m’infligeait d’affreuses tortures sexuelles, en utilisant des instruments barbares qui provoquaient mes pleurs et mes hurlements. Je lui servais également de WC humain, quand elle vidait sa vessie dans ma bouche ouverte. Elle prenait de nombreux amants, en particulier ceux qui avaient de très gros attributs virils et qui ne se gênaient pas pour forniquer sous mes yeux de mari candauliste, ou bien ils participaient aux supplices que ma femme m’imposait. Parfois, ma mère venait dîner à la maison et assistait à tout cela. Tante Marie se joignait au groupe, accompagnée de ses deux jumelles. Toutes abusaient de ma virilité jusqu’à l’épuisement complet, et même au-delà.
Une nuit, j’ai brisé mes chaînes et je me suis évadé. Mes cousines Daphné et Jeanne m’y avaient aidé. Nous étions amoureux tous les trois les uns des autres. Afin d’assurer la tranquillité de notre fuite, nous avions ligoté ma femme, Maman et tante Marie sur leur lit, toutes nues, des boules de Geisha vibrantes enfoncées dans le vagin et l’anus, et bâillonnées. Nous les avions abandonnées alors qu’elles jouissaient encore et encore. Oui, l’esclave que j’étais s’était rebellé.
Cependant, je n’allais pas tarder à découvrir que toute cette cavalcade n’était qu’une comédie jouée par les deux sœurs jumelles qui avaient feint d’être amoureuses de moi afin de me jouer un tour. On appelle cela la torture par l’espoir : j’y croyais vraiment, et ma déception a été un choc. Quand Daphné et ...
... Jeanne, très fières de leur coup, m’ont ramené tout enchaîné à la maison, Maman, tante Marie et mon épouse m’y attendaient de pied ferme. Elles ont réuni un conseil de famille afin de juger. Je n’ai pas eu le droit de me défendre. En attendant l’application de la sentence, je restais enfermé nu dans une petite cage dont les trois quarts étaient immergés dans la piscine, de sorte que je ne pouvais respirer qu’au prix de grands efforts musculaires.
Pour les esclaves insoumis, il n’y avait pas d’alternative : une croix m’attendait dans le jardin, avec de vrais clous cette fois, fins et trempés dans l’alcool pour les désinfecter. Tout un public de femmes s’était rassemblé pour assister à mon supplice. J’ai d’abord été sévèrement flagellé, suspendu à un portique par les poignets, puis les spectatrices se sont toutes ruées sur moi avec leurs godes-ceintures. Chers amis, vous ne pouvez pas savoir comme je bandais en apercevant cet instrument de bois qui m’était destiné. Cette fois, le titulus ne portait plus sur mes piètres résultats scolaires, ni même sur mon évasion ratée, mais il mentionnait :
croit en l’amour
. Effectivement, hier comme aujourd'hui, j'assume aimer toutes les femmes, quitte à souffrir pour elles.
Mes bourreaux ont accepté ma demande, qui était de pouvoir sucer les pieds de Daphné et Jeanne pendant qu’on me fixait sur la croix. À ce moment-là, émerveillé par le goût et l’odeur de ces petons si charmants, j’ai pardonné à mes cousines leur trahison. Pendant ce ...