1. Un été nu chez ma tante


    Datte: 30/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Hardcore, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    Résumé
    
    : les tourments d’un jeune masochiste.
    
    Comme je venais de rater mon bac, ma mère m’a envoyé tout l’été suivant chez ma tante Marie. C’était sensé être une punition, mais comme j’étais le garçon le plus masochiste de la Terre, ce séjour a constitué les vacances les plus merveilleuses que j’aie jamais vécues.
    
    Tante Marie, qui avait bénéficié d’un important héritage, habitait dans une vaste propriété entourée d’un parc immense. C’est dans le salon de jardin que Maman et moi avons été reçus, en compagnie de mes cousines Daphné et Jeanne, les deux filles de Marie ; elles avaient le même âge que moi et leurs yeux brillaient d’une grâce espiègle, ce qui m’attirait énormément. Installées à l’ombre de la balancelle, les deux ravissantes jumelles brunes étaient identiquement vêtues de longues robes blanches fermées par d’épaisses ceintures noires. Elles marchaient pieds nus dans l’herbe et la seule vision de ces quatre petons qui se balançaient suffisait à inspirer une érection au fétichiste que j’étais. Sandrine, la domestique, servait les boissons avec le sourire discret de celle qui savait à quelle sauce j’allais être mangé.
    
    Marie a demandé à ma mère :
    
    — Dis ton, ton fils a bien grandi depuis Noël dernier.
    
    — N’est-ce pas ? Son pénis aussi s’est allongé. Et le coquin passe son temps à se branler en regardant des vidéos pornographiques. Il ne s’en cache même plus.
    
    — Oh, le chenapan ! Il va falloir lui apprendre les bonnes manières et dresser sa virilité. ...
    ... Enfin, nous avons deux mois entiers pour cela.
    
    — Le mieux est de commencer dès maintenant, a proposé Maman. Stéphane, tu veux bien de déshabiller s’il-te plaît ?
    
    — Tu veux dire… tout nu ?
    
    — Oui, le slip aussi. Allons, dépêche-toi, je t’en prie. Je vais bientôt devoir repartir, et j’aimerais emmener tes vêtements avec moi.
    
    — Au fait, il n’a pas de valise, a remarqué Marie ?
    
    — Non, il n’en a pas besoin. Vous n’avez pas de vêtements masculins, j’espère ?
    
    — Aucun, je n’en jamais eu.
    
    — C’est parfait. Comme cela, il restera complètement nu tout l’été.
    
    Après avoir été tenu de me défaire de mon slip – Maman a dû m’aider à vaincre ma pudeur en abaissant elle-même ce dernier vêtement qui, pour ma plus grande honte, n’était pas très propre, ce que tout le monde a pu constater de visu et olfactivement lorsque le cache-sexe a circulé de main en main – je cherchais désespérément à dissimuler mes organes génitaux derrière mes mains : une pauvre stratégie, vouée à l’échec. Daphné et Jeanne pouffaient ensemble en observant ma délicate situation. J’aurais voulu me trouver cent pieds sous Terre, prêt à pleurer, sans que je sache si c’était des larmes de joie ou bien de confusion – les deux en même temps, sans doute. Je rougissais autant qu’une tomate.
    
    — Allons mon garçon, est intervenue Marie, ne nous cache pas ces beaux trésors que tu possèdes entre tes jambes.
    
    En prenant doucement mes poignets, elle est parvenue à me conduire à exposer ma virilité bien épanouie, nu ...
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