1. Un été nu chez ma tante


    Datte: 30/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Inceste / Tabou Hardcore, Auteur: scribouillard, Source: xHamster

    ... devant la gent féminine. Puis elle a pris un centimètre de couturière pour mesurer la longueur de mon membre, son diamètre, la taille de mes testicules, etc. Elle annonçait les valeurs à voix haute. Maman a pris le petit carnet dans lequel elle notait tout cela, et a confirmé :
    
    — Effectivement, il a bien grandi.
    
    — Tu aimes quand je te tripote le zizi, n’est-ce pas, joli coquin ?
    
    N’osant pas parler, j’ai fait oui de la tête. En fait, les sensations de plaisir que me procuraient ses attouchements étaient si intenses que j’aurais éjaculé si je ne me m’étais pas retenu en serrant les poings.
    
    — Et donc, tu me dis qu’il a l’habitude de s’adonner à l’onanisme, c’est-à-dire au vice solitaire, a demandé Marie à ma mère ?
    
    — Tout à fait. Il le fait au moins deux fois par jour, quand ce n’est pas dix.
    
    Et encore, elle était en dessous de la réalité.
    
    — C’est intéressant, cela. Tu veux bien nous montrer comment tu fais, Stéphane ?
    
    — Oui, masturbe-toi devant nous, a renchéri ma mère. Je suis sûre que tes cousines sont très intéressées pour découvrir comment tu livres à cet abus de toi-même.
    
    — Nous te regardons toutes.
    
    J’étais effectivement sous le feu de cinq paires d’yeux féminins, sans rien sur la peau, et bandé comme un cerf en rut. Pas moyen d’y échapper : il a fallu que ma pudeur juvénile soit bafouée dans les grandes largeurs. J’ai saisi ma hampe à pleine main droite, et j’ai commencé à me branler. Comme si cela ne suffisait pas, Marie m’a chatouillé ...
    ... les bourses du bout des doigts, et sous cette caresse irrésistible, j’ai rapidement explosé d’une énorme giclette de sperme que ma tante a recueilli dans une carafe. Elle y a mêlé de la vodka, puis a réparti le contenu dans nos verres alors que je pantelais (sans pantalon), épuisé par un orgasme sublime, en tenant à peine sur mes jambes. Les jumelles ont éclaté de rire devant l’expression de mon visage au moment de me libérer de tout ce nectar d’homme dans un rugissement de fauve.
    
    Nous avons trinqué alors que mon pénis qui pendait, cependant encore dur, s’épanchait encore, goutte à goutte, sur l’herbe. Deux autres filles sont venues nous rejoindre, des copines de lycée des jumelles qui venaient d’être prévenues par téléphone que quelque chose d’intéressant se passait là, et qui se plaisaient à m’humilier non seulement à cause de ma nudité devant elles habillées, mais aussi parce que toutes les quatre avaient eu la mention très bien alors que j’avais raté mon bac.
    
    — Tchin ! À l’été, a déclaré Marie !
    
    — C’est vraiment sympa de ta part de prendre mon fils en charge pendant les vacances.
    
    — Tu me confies un puceau timide – parce qu’il est puceau, n’est-ce pas ? Je ferai de lui une bête sexuelle. Je vais te le transformer, tu verras.
    
    Maman a fermé le coffre de la voiture, avec mes vêtements à l’intérieur. J’étais condamné à rester nu durant tout mon séjour – mais l’été a été torride et je n’ai jamais eu froid. En même temps, elle a déchargé un grand carton rempli de ...
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