Un été nu chez ma tante
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
Hardcore,
Auteur: scribouillard, Source: xHamster
... des sédiles qui, progressivement, nous entraient de plus en plus profondément dans les tripes, nous étions obligés de nous cambrer, ce qui mettait en valeur nos organes génitaux d’une manière particulièrement indécente. Les dames et les filles se moquaient. Le garçon timide et pudique que j’étais était ainsi tenu de se changer en exhibitionnisme, et j’ai beaucoup aimé cela.
À tous ceux qui se plaignaient d’avoir soif, on donnait à boire du sang menstruel. Ceux qui voulaient pisser devaient se soulager sur place, ce qui ne manquait pas de provoquer l’hilarité. Des dames venaient nous branler ou nous sucer, d’autant plus facilement que nos sexes se trouvaient à la hauteur de leur visage, tout en évitant de nous laisser éjaculer afin que nous soyons désespérés. D’autres étaient au contraire masturbés encore et encore, de sorte qu’ils n’en pouvaient plus, tandis que les tortionnaires se régalaient du sperme qui tombait en fontaine. Parfois, nous étions chatouillés, ce que j’ai trouvé particulièrement insupportable. Elles s’ingéniaient toutes à découvrir pour chacun la forme de supplice que nous ressentions comme la plus odieuse. Quand j’ai entendu les autres gars supplier leurs bourreaux en pleurnichant, j’ai compris que l’objectif était de nous ôter toute dignité humaine afin de faire de nous des poupées érotiques. Certaines s’étaient déguisées en légionnaires romaines. Elles se moquaient de nous, particulièrement de ceux qui pleuraient. Pour ma part, j’affectais de rester ...
... stoïque et de profiter de chaque instant. Au soir, quand on nous a décrochés, nous étions tous épuisés. Nous avons dormi sur la plage.
Le lendemain, il y a eu un combat de gladiateurs – le thème de l’année était l’Empire romain, et j’avais entendu dire que celui de l’année précédente était l’inquisition. Nous avions tout le corps abondamment enduit d’une huile parfumée par des masseuses qui ne se gênaient pas pour en profiter pour glisser leurs doigts dans les endroits les plus intimes de notre corps. Les séances de massage étaient publiques, en plein soleil.
Puis les combats ont commencé, avec des duels issus d’un tirage au sort. Chacun disposait d’une épée et d’un boulier de plastique, sauf les rétiaires auxquels on avait confié un filet. C’était l’un de ceux-ci que j’ai eu à combattre. J’étais malhabile. Il a tôt fait de m’emprisonner entre ses mailles dont je ne pouvais pas me dépêtrer. Tante Marie, couronnée de laurier, jouait l’impératrice et tournait son pouce vers le bas lorsque la foule de spectatrices le lui demandait, c’est-à-dire systématiquement. Malheur au vaincu. Nous étions censés avoir une petite chance d’obtenir la grâce en nous agenouillant humblement, aux pieds de l’impératrice assise sur son trône, et en lui bécotant les orteils sales qu’elle nous tendait, altère et pleine de morgue. Il n’y avait aucune pitié pour ceux qui perdaient, car tout ceci n’était qu’une mascarade – mais une mascarade excitante pour mon fétichisme des pieds féminins, et je ...